mercredi 31 mai 2006

n° 79 : Les nuits blanches du Chat botté

Les nuits blanches du Chat botté (N°13094)

Le 29 mai, j'ai fini de lire un ... roman policier historique. Celui de Jean-Christophe DUCHON-DURIS, Les nuits blanches du Chat botté, collection 10/18 N°3629, 2004, nouveau tirage 2005.

Ce que j'ai aimé :

1°) Ca se passe en 1700, en plein règne de Louis XIV ! Il est vrai que l'action se déroule dans les fins fonds de la province mais il y a un passage par Paris très réussi.

2°) C'est le 1er ouvrage des aventures de Guillaume de Lautaret, procureur du roi. Ce personnage est vraiment très attachant tout comme celle dont il tombe amoureux Delphine d'Orbelet.

3°) Les meurtres se succèdent et on est intrigué par les liens avec les contes de Perrault.

4°) On est vraiment surpris quand on découvre qui est le meurtrier.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Quelques approximations historiques : par exemple parler du siège et de la prise de Strasbourg pour les années 1690 c'est un peu tardif... la prise de Strasbourg date de 1681.

2°) Il y a des passages un peu inutilement "sex" pour attirer le lecteur. Ca n'apporte pas grand chose.

Un bon roman policier, plus pour l'intruigue que pour l'Histoire (avec majuscule).

mardi 30 mai 2006

n° 78 : Le caïman

Le caïman (N°13093)


Hier soir, lundi 29 mai, je suis allé voir le film Le Caïman de Nanni Moretti. J'ai moyennement apprécié.


Ce que je n'ai pas trop aimé :


1°) Le rôle du personnage principal, le réalisateur Bonomo, est incroyablement déprimant. Tout va mal pour lui... c'est vraiment lourd à supporter.


2°) Le film parle de Berlusconi sans en parler vraiment. On tourne autour du pôt sans fin. On passe de la fiction à des extraits de documentaires.


3°) Les deux fils de 7 et 9 ans du réalisateur sont attachants mais je suis resté assez mal à l'aise face à la pseudo complicité avec leur père.


4°) Je suis allé le voir à l'UGC ciné cité les Halles, je ne m'étais jamais tappé une page de pub aussi longue... ça a duré presque 25mn.


Ce que j'ai plus aimé :


1°) Quand le film passe la chanson à tue-tête de Adamo : "Lei" ou pendant le montage du déco la chanson en raï.


2°) Quand on apprend que la jeune scénariste du film "Le caïman" est maman de son enfant avec ... une autre maman... un thème pas si courant en Italie !!


3°) Ben pour mon italien, c'est toujours une bonne chose de voir un film dans la langue de Dante.


Un film donc que je ne recommande pas trop...

lundi 29 mai 2006

n° 77 : L'affaire Raphaël

L'affaire Raphaël de Iain PEARS (N°13092)

Le 26 mai 2006, lors de mon séjour en Normandie qui je l'espère m'a permis de me remettre sur pieds, j'ai fini de lire le livre de Iain PEARS, L'affaire Raphaël, collection 10/18 N°3365, 2002, nouveau tirage 2005, éditions Belfond, 2000 (traduction de Georges-Michel SAROTTE), édition en langue anglaise,1990.

Ce que j'ai bien aimé :

1°) Pour une fois je n'avais pas commencé une série de romans policiers par le 1er, car j'en avais déjà lu 2 autres. Je suis content d'avoir pu enfin trouver le 1er de la série.

2°) Ce 1er de la série est très réussi. On est plongé dans les services de la police des biens culturels italiens pour savoir le destin d'un mystérieux tableau de Raphaël.

3°) Le roman réussit à nous donner des pistes sur l'histoire de l'art sans se perdre dans les détails ou dans de graves erreurs (du genre les bourdes que commet Dan BROWN).

4°) Il y a un vrai suspens et le dénouement est très réussi.

5°) Le personnage du général Taddéo Bottando, le chef roublard et tranquille de cette brigade policière est très attachant... on le retrouve avec plaisir dans les ouvrages suivants.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Il y a quelques invraisemblances... un tableau détruit par le feu lors d'une réception.

Un Iain PEARS pas mal fait en tout cas.

mercredi 24 mai 2006

n° 76 : Funeste présage

Funeste présage de Paul C. DOHERTY (N°13087)

Hier, le mardi 23 mai 2006, j'ai fini de lire le livre de Paul C. DOHERTY, Funeste présage, collection 10/18 N°3705, traduit de l'anglais par Christiane POUSSIER et Nelly MARKOVIC, édition originale en anglais Corpse candle, 2001. Je pensais que c'était le dernier de la série des Hugh CORBETT traduit en français, mais en fait, cet après-midi je viens de trouver le dernier volume.

Ce que j'ai aimé :

1°) L'action se passe dans un monastère bénédictin. Il y a un petit côté Le nom de la rose.

2°) On comprend que dans le passé, des secrets ont été bien cachés... une supposée histoire homosexuelle se transforme en une fin somme toute très banale mais qui a l'avantage de créer un sacré rebondissement en fin de volume.

3°) On comprend que Corbett et Ranulf continuent à s'éloigner l'un de l'autre tout en s'estimant toujours autant. Ils n'ont pas le même rôle à jouer auprès du roi Edouard Ier.

4°) Doherty s'en est donné à coeur joie en ce qui concerne les meurtres : ça n'arrête pas.

5°) L'évocation de la fascination envers le passé romain (les textes et les mosaïques) est bien mise en évidence.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Les traductrices ont choisi un titre qui n'a ni queue ni tête... le titre original : corpse candle est beaucoup mieux : chaque moine tué est comme une bougie que le meurtrier a décidé de souffler pour se venger.

Un bon Hugh CORBETT donc malgré un titre râté en français.

dimanche 21 mai 2006

n° 75 : La tia Cebola

La tia Cebola (Bar à tappas- Madrid) (N°13084)


Pendant mon séjour à Madrid, nous sommes allés deux fois dans un très bon bar à tappas situé pas loin de la puerta del sol (en direction du sud) : la tia Cebola, le long de la calle espoz y mina, sur une place à l'angle avec la rue Alvares Gatto.


Ce que j'ai aimé :


1°) La sangria est très bonne... avec plein de morceaux de fruits et on sent à peine l'alcool qui fait pourtant beaucoup d'effet au bout de quelques minutes.


2°) Les tappas à base notamment de cochonailles et de poiscailles sont très bons tout comme les pains garnis d'une énorme couche de fromage.


3°) Le service est très sympa.


4°) Quand il fait bon, on peut manger en terrasse.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Ce bar est situé dans un quartier un peu labyrinthique où j'ai du mal à me repérer.


En tout cas une bonne adresse car certains bars à tappas sont au contraire de vrais arnaques !

samedi 20 mai 2006

n° 74 : Léviathan

LEVIATHAN  (N°13083)

Le 19 mai 2006, je me suis reposé pour me remettre de ma fièvre de 39,5°. Du coup, j'ai lu le livre Boris AKOUNINE, Léviathan, collection 10/18, 2003.(traduit du russe par Odette CHEVALOT, édition originale en russe, 1998).

Ce que j'ai aimé :

1°) C'est un excellent roman policier. Peut-être le plus réussi de la série d'Eraste Fandorine. Tout y est : un meurtre collectif en début de roman, un vol d'une antiquité indienne, puis surtout un roman qui se rédoule en grande partie sur un gigantesque bateau, le Léviathan pour relier l'Angleterre à l'Inde... ambiance Hercule Poirot sur le Nil.

2°) Le détective français, Gauche, est très attachant dans son rôle de policier en fin de carrière qui cherche sa promotion en fin de carrière.

3°) Le roman fait rêver avec les histoire consacrés à l'Inde et aux diamants des Maharajas.

4°) Comme toujours chez Akounine, les personnages féminins sont toujours aussi insupportables par leur légéreté, leur minauderies et finalement leur roublardise.

5°) Comme dans les précédents romans, la fin est une succession de rebondissements qui dans celui-ci sont admirablement orchestrés.

6°) Le roman s'amuse beaucoup avec la rivalité franco-britannique.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Comme dans le précédent roman, Fandorine n'occupe qu'un rôle très secondaire dans le roman même si c'est lui qui dénoue l'affaire.

2°) L'auteur varie trop la présentation. Le journal intime du personnage japonais qui doit se lire en tenant le livre de côté n'est pas de mon point de vue une très bonne idée.

Un roman policier très réussi et que l'on peut lire sans avoir lu les deux premiers de la série.

vendredi 19 mai 2006

n° 73 : Anaïs

Anaïs (N°13082)


Mercredi 17 mai 2006, le soir, je suis allé à la Cigale pour assister au concert d'Anaïs. Je n'ai pas accroché :


Ce que je n'ai pas pas aimé :


1°) Nous sommes arrivés à la Cigale à 18h45 pour un concert qui commençait à 19h30... Il y avait déjà une queue assez impressionnante. Comme le placement était libre, il a fallu commencer à faire la queue dès ce moment là.


2°) Une fois rentré dans la salle, après des hésitations, nous avons opté pour une des places assises dans les balcons tout à droite de la salle. Pas de bol : pendant le spectacle, les musiciens et les choristes étaient situés au fond à droite de la scène, ce qui fait que nous ne les avons jamais vu... Ils ne sont jamais allés sur la gauche !


3°) Le nombre de places qui avaient été vendus étaient à mon avis excessif par rapport à la taille de la salle... il y a plein de gens qui étaient debout et qui ne voyaient rien du tout. En plus, il faisait une chaleur à mourir.


4°) Il y a eu 2 chanteurs en avant première. Je n'ai pas trop apprécié et en plus cela a multiplié les pauses et les attentes... Anaïs n'est apparue sur scène qu'après 21h... et à 22h15, c'était déjà fini.


5°) Anaïs ne fait pas beaucoup d'efforts pour créer des surprises par rapport à son album... même certaines blagues... c'est un peu lourd !


6°) Ben en plus, en rentrant on a attendu le métro pendant 14 minutes et sur le quai il y avait une barge qui enmerdait le monde. Ca craind vers Pigalle !


7°) Pour couronner le tout, et c'est peut-être pourquoi cet article est partial, j'étais malade. Je suis rentré dans un état fiévreux et le lendemain, j'ai passé une journée dans le brouillard et j'ai fini la journée avec 39,5° de température !


8°) Le son pendant le concert n'était vraiment pas bon... il y a des chansons qui je trouve ont été massacrées. On ne comprenait plus les paroles.


Ce que j'ai bien aimé :


1°) Ben ça faisait longtemps que je n'avais pas passé une soirée en tête à tête avec Marc et comme il part en vacances samedi on ne va pas se revoir avant une dizaine de jours.


2°) Anaïs a quand même quelques chansons bien sympa. Je suis fan de "Mon coeur, mon amour".


3°) AnaÏs s'est lâchée un peu plus en fin de spectable. Les imitations de Carla Bruni ou Camille permettent de sortir des sentiers battus.


4°) Le public devant la scène était vraiment jeune et dynamique et a assuré quand même une très bonne ambiance (et là encore je trouve qu'Anaïs n'est pas vraiment à la hauteur car mise à part quelques postures classiques pour faire participer le public on ne ne peut pas dire qu'elle rentre vraiment en communication avec le public...).


Une chanteuse donc il me semble qu'il est préférable, pour le moment, d'écouter l'album plutôt que d'aller la voir en concert.

jeudi 18 mai 2006

n° 72 : The devil's hunt

THE DEVIL'S HUNT (N°13081)

Le 16 mai 2006, j'ai fini de lire le livre de Paul DOHERTY, The devils'hunt, Headline Book Publishing, 1996. J'aime bien !

Ce que j'ai aimé :

1°) C'est un livre que j'avais déjà lu en français dans la collection 10/18. C'est un de mes préférés de la série consacrée au policier Hugh Corbett.

2°) Ce que j'aime dans ce roman, c'est qu'il tombe très vite dans une tristesse horrible : l'auteur n'a pas hésité à éliminer un des personnages sympas qu'il avait créé autour de Corbett : la palefrenier Maletote. A la fin, on se demande s'il n'est même pas prêt à aller plus loin...

3°) Dans ce roman, le souvenir de Henri de Monfort, noble qui a tenu tête à Henri III et à son fils le futur Edouard Ier jusqu'à la bataille d'Evesham en 1265, est très bien évoqué.

4°) Dans ce roman, Ranulf, le bras droit de Corbett prend du galon et du poil de la bête... il mène son propre jeu.

5°) L'action se passe dans le milieu universitaire d'Oxford du début du XIVe siècle. Ca m'a rappelé une des scènes du Oxford History Museum que j'ai visité en avril.

6°) Le personnage de Lady Mathilda est vraiment génial !

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Comme en anglais je suis un peu "rouillé, j'ai mis 3 semaines à lire ce livre... un peu long. Je me suis retrouvé à lire en anglais à Madrid !

Un livre excellent à lire donc soit en anglais soit en en français sous le titre La chasse infernale.

mercredi 17 mai 2006

n° 71 : Museo Thyssen Bornemisza

MUSEO THYSSEN BORNEMISZA (Madrid-Espagne) (N°13080)


Lors de mon séjour à Madrid, je suis allé, dans l'après-midi du samedi 6 mai 2006, au musée Thyssen Bornemisza dans lequel je n'avais pas eu le temps d'aller en 2000. C'est un très beau musée de peinture qui complète à la fois la visite du Prado et celui de la Reine Sofia.


Ce que j'ai aimé :


1°) Ce sont des tableaux d'un collectionneur privé (Thyssen) et de sa femme (Bornemisza). On peut donc y voir une très grande variété de peintres avec une collection qui n'a pas l'ampleur d'une galerie nationale comme le Prado... c'est donc un musée à échelle humaine.


2°) Les collections comprennent de nombreux tableaux de peintres que j'apprécie beaucoup : par exemple un superbe portrait de Henry VIII par Holbein, le paysage avec un jeune chevalier de Carpaccio, le portrait de Jacques Le Roy de van Dyck et une splendide collection d'impressionnistes.


3°) Le musée possède plusieurs tableaux de Sysley, un de mes peintres impressionnistes préférés dont une splendide version de l'inondation à Port Marly.


4°) Le magasin du musée possède une impressionnante gamme de cartes postales.


5°) Les salles du musée sont très lumineuses. Le musée est récent, il a été inauguré en 1992.


6°) Dans l'ensemble, les commentaires des audio-guides sont bien faits.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) La division entre la collection Thyssen et Bornemisza... les deux collections sont classées par ordre chronologique ce qui est très bien, mais il est étrange de faire deux fois ce parcours. Pourquoi ne pas unifier les deux collections ?


2°) Encore beaucoup de Français dans ce musée... il y avait rupture de stock des audio-guides en français, j'ai dû prendre la version anglaise.


3°) Au magasin du musée, il n'y a aucun livre à un prix raisonnable pour garder en mémoire la collection de ce plendide musée.


4°) Le site internet du musée ne fonctionne pas.


Un musée donc en tous cas à voir pour compléter la visite du musée du Prado et celui de la Reine Sofia.

mardi 16 mai 2006

n° 70 : OSS 117 Le Caire ni d'espion

OSS 117 LE CAIRE NI D'ESPION (N°13079)


Hier soir, lundi 15 mai 2006, je suis allé au cinémà à la séance de 17h pour voir OSS 117 Le Caire, ni d'espion que mes amis Nicolas (qui l'avait vu en avant 1ère) et Marc m'avaient conseillé. Ma collègue Gisèle avait même eu pour le film des propos très élogieux en disant que c'était vraiment un film divertissant, idéal pour la détente. Comme hier soir, j'étais très fatigué, c'était le film idéal.


Ce que j'ai aimé :


1°) C'est un film sur l'empire colonial, la nostalgie de l'empire et aussi sur le sentiment d'humiliation des peuples du "sud" face à la superbe et au mépris des Occidentaux et notamment des Français. OSS 117 passe son temps à juger négativement les moeurs égyptiennes malgré une culture générale très très limitée.


2°) C'est un film sur la machisme, la misogynie. OSS 117 prend tellement les femmes pour des demeurés qu'il en est ridicule alors qu'il passe son temps à se trouver beau et intelligent.


3°) Les deux actrices qui jouent des égyptiennes sont magnifiques : Bérénice Béjo et Aure Atika (qui a son propre site).


4°) Le retour des nazis dans les fins fonds de la pyramide est assez rigolo.


5°) Les scènes dans lesquels 0SS 117 se souvient des jeux de bilboquet et de ballon sur la plage sont désopilantes... le bilbloquet occupe d'ailleurs une place centrale dans ce film.


6°) Le design des années 50 est vraiment bien rendu dans ce film.


7°) Certains gags sont très réussis : 00S 117 se passe les mains dans des cheveux ébouriffés et il retrouve d'un seul geste une coiffure parfaitement gominé ; la nièce du roi Farouk qui est un peu SM sur les bords...


8°) Marc a raison, OSS 117 est hilarant quand il se met à chanter Bobino en arabe !


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Jean Dujardin, je ne l'avais jamais vu dans un film mais je trouve que dans ce film il joue exactement le même genre de rôle que dans un gars, une fille : le mec macho, de mauvaise foi et sûr de lui. J'ai donc du mal à me faire un avis sur ces qualités d'acteur.


Un film divertissant... à voir après une journée de boulot et pour ne pas se prendre la tête.

lundi 15 mai 2006

n° 69 : Le Trumilou

Le Trumilou (Paris IVe) (N°13078)


Vendredi 12 mai 2006, le soir, je suis allé avec le compagnon Reynld au restaurant "Le Trumilou", 84, quai de l'Hôtel de ville dans le 4e arrondissement de Paris. C'est une très bonne adresse.


Ce que j'aime :


1°) Le restaurant sert des plats traditionnels, par exemple nous avons pris un oeuf mayonnaise (avec un bol gigantesque de mayonnaise maison), une saladre frisée, deux escalopes de veau avec un gigantesque plat de frites, un gâteau de riz et un chocolat liégeois.


2°) Il y a une carte du jour qui change vraiment ... tous les jours !


3°) Le personnel est vraiment très aimable.


4°) Il y a un décor franchouillard qui met à l'aise.


5°) C'est un bon resto et pas trop loin de chez moi. Une situation très sympa, sur les quais en face de l'Île Saint-Louis, pas loin du pont Louis-Philippe.


6°) Le vin rouge en pichet est très acceptable.


7°) Les tarifs ne sont pas donnés mais ils sont raisonnables : entrée, plat, dessert, vin, café, on a payé à 2 : 59 euros.


Ce que j'apprécie moins :


1°) Il y a des grandes tables où on peut se retrouver coude à coude avec les voisins. Je préfère les ambiances un peu plus imtimistes.


2°) Dans la carte du jour, il y a beaucoup de plats à base de produits de la mer... je ne suis pas fan. Je ne suis peut-être pas tombé sur le bon soir.


3°) Ce restaurant a un nom inmémorisable...


Quoi qu'il en soit cela reste un restaurant que j'ai envie de faire découvrir à beaucoup de mes amis.

dimanche 14 mai 2006

n° 68 : C.R.A.Z.Y.

C.R.A.Z.Y. (N°13077)


Ce dimanche matin du 14 mai 2006, à la séance de 9h, je suis allé au cinéma. Je suis allé voir le film C.R.AZ.Y. que Marc mon meilleur ami m'avait conseillé. Un film à voir absolument !


Ce que j'ai aimé :


1°) C'est une saga familiale : les parents et 5 garçons nés dans les années 50'-60' au Québec. Pour un fils unique comme moi, on y découvre les rivalités entre frères, les différences entre chaque enfant (il y a l'intello, le drogué, le sportif, l'homo et le petit dernier rondouillard) et surtout combien les parents se sentent, d'une manière ou d'une autre, impliqué dans le destin de chacun des enfants.


2°) Avec Zac, le personnage principal du film, on se rend compte combien pour un ado puis pour un jeune homme le fait d'être homosexuel est difficile à accepter. C'est évidemment encore plus dur pour les parents (surtout le père de Zac).


3°) Le personnage le plus attachant est le père, mélange de violence, de générosité, de bienveillance et d'exigence à l'égard de ses fils. Les coups qu'il prend dans la gueule lorsqu'il se rend compte qu'un de ses fils est homo et puis surtout qu'un autre s'enfonce sans fin dans la spirale des filles, de l'alcool et surtout de la drogue dure, sont incroyablement touchants. (La scène finale qui donne tout son intérêt et tout son sens au film est exceptionnellement belle). Malgré la diversité de ses fils, on se rend compte combien il les aime.


4°) La langue utilisée dans ce film est savoureuse. Il y a un mélange de français (enfin compréhensible par ceux de ce côté-ci de chez nous), de québecois et même d'anglais.


5°) Il y a dans ce film des scènes hilarantes à se tordre de rire.


6°) Le personnage de la mère, un peu naïve mais pleine de générosité, est aussi magnifiquement joué par l'actrice.


7°) La haine-passion-rivalité entre Zac et son frère Raymond est très bien rendue.


8°) En rentrant, je me suis remis le best of de Charles Aznavour...


Ce que j'ai moins aimé :


1°) L'histoire des "dons" de Zac n'apporte pas grand chose au film. Ca donne un côté un peu loufoque, du genre "La maison aux esprits" d'après Isabelle Allende.


2°) Les histoires entre Zac et sa copine rousse puis l'attrait pour le petit-ami de sa cousine m'ont paru peu claires. J'ai eu du mal à rentrer dans cette partie du film.


3°)  Le passage de Zac en Terre Sainte de Zac a lui aussi un côté un peu loufoque que j'ai du mal à comprendre. Là encore on ne sait d'ailleurs pas trop ce qu'il veut.


En tout cas, un film vraiment magnifique à voir !

samedi 13 mai 2006

n° 67 : HOSTAL TIJCAL

HOSTAL TIJCAL (Madrid - Espagne) (N°13076)


Pendant mon séjour à Madrid du 5 au 8 mai 2006, j'ai logé à l'hôtel TIJCAL. C'est une bonne adresse pour ceux qui veulent se rendre dans la capitale espagnole.


Ce que j'ai aimé :


1°) L'hôtel est situé tout près de la piazza mayor, pas loin non plus de la puerta del sol (et donc de la station de métro "sol"). C'est donc un hôtel très central.


2°) Les prix sont raisonnables. Le prix de la chambre (avec la réduction de 5% pour paiement en cash) était de 89 euros pour la chambre de 3.


3°) Les chambres sont suffisamment grandes et propres. La douche et les toilettes en très bon état.


4°) Comme souvent à Madrid ou à Rome, c'est un hôtel dans un immeuble classique. Il est situé au 3e étage. Cela donne l'impression de loger chez l'habitant.


5°) L'hôtel est ouvert 24h/24. C'est très pratique vu qu'à Madrid, la vie est aussi trépidante la nuit que le jour.


6°) Le réceptionniste qui nous a reçu le 1er jour parlait très bien français et était assez accueillant.


7°) Pour le jour du départ, il y a une consigne très bien faite dans laquelle on précise sur une étiquette quelle était la chambre occupée et une signature.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Les chambres donnent sur les rues proches de la Piazza Mayor. C'est donc un peu bruyant, malgré le double-vitrage. J'ai donc dormi avec des EAR.


2°) La chambre triple 314 est juste derrière la réception. Il y a eu une nuit où le réceptionniste s'est mis à parler comme si c'était la journée ce qui était insupportable.


3°) Un des réceptionnistes n'avaient pas l'air d'être très accessibles aux idées complexes. Il fallait lui expliquer longtemps certaines choses.


4°) Les clés étaient remplacés par des badges qui permettaient de mettre le contact pour faire fonctionner l'électricité dans la chambre. Résultat, s'il y en a qui sort et qui prend le badge, il coupe la lumière !


5°) Dans la nuit de samedi au dimanche, lors de notre retour un cafard d'assez bonne taille nous attendait dans la chambre. Je l'ai tué... mais il avait mystérieusement disparu le lendemain !


Un hôtel avec donc des inconvénients mais dont la localisation en fait quand même une bonne adresse.

vendredi 12 mai 2006

N° 66 : LE PEROU au petit palais

PEROU L'ART CHAVIN AUX INCAS (Exposition du Petit Palais) (N°13075)

Ce matin du vendredi 12 mai 2006, après ma piscine et mon footing, je suis allé voir l'exposition "Pérou l'art de Chavìn aux Incas" au petit Palais. Une exposition intéressante.

Ce que j'ai aimé :

1°) On peut y voir de très belles oeuvres d'art. L'art pré-colombien est parfois très déroutant par ses formes qui semblent très modernes.

2°) L'exposition fait un vrai effort pour distinguer les différentes cultures qui se sont juxtaposées et succédées au Pérou depuis l'époque  Chavìn (2e millénaire avant J.-C.) jusqu'aux Incas (le siècle qui a précédé la conquête espagnole).

3°) J'ai découvert la culture "Moche" le nom ne s'invente pas ! et pourtant ce sont des oeuvres très belles.

4°) On peut y voir une mystérieuse statuette en or d'une Vénus qui n'est rattachée précisément à aucune des cultures péruviennes.

5°) Le petit guide proposé à 2 euros est très clair et très beau à voir.

Ce que je n'ai pas aimé :

1°) L'exposition coûte 6 euros (avec le tarif réduit des prof). Je trouve que même si les oeuvres sont très belles, la visite se fait très vite. Il n'y a que 13 salles.

2°) Dans le petit guide, il n'y a pas la photo de la Vénus en or. Cela m'a deçu.

3°) J'aurais aimé voir des choses concernant l'architecture, même des photographies, des palais, des villes...

4°) L'exposition est décevante concernant les Incas. Une seule malheureuse salle leur est consacrée et on y trouve aucun objet particulièrement intéressant.

Une exposition à voir pour les amateurs d'art pré-colombien ou de beaux objets d'art.

jeudi 11 mai 2006

n° 65 : V POUR VENDETTA

V POUR VENDETTA (N°13074)


Ce jeudi soir du jeudi 11 mai 2006, j'ai appris une triste nouvelle. J'ai eu un appel téléphonique qui m'a appris que Geneviève GORSE, une dame très bien, était décédée hier soir. Je tenais à en parler avant l'article d'aujourd'hui.


Ce soir, je suis allé voir V pour Vendetta.


Ce que j'ai aimé :


1°) On est immergé l'Angleterre du XXIe siècle dans laquelle un gouvernement au nom de la défense des intérêts de la population a mis en place une société très contrôlée. Ambiance 1984 ou Brave New World.


2°) Le personnage masqué de V est très attachant. Ca m'a rappelé The Phantom oh the Opera.


3°) La façon dont V fait prendre conscience à E.V. qu'elle peut être libre est vraiment fascinante.


4°) Les histoires dans lesquels un gouvernement de type fasciste se met en place suite à des manipulations deviennent de plus en plus fréquents : le film animé Renaissance (vu récemment) ou l'excellent roman Globalia de Jean-Christophe Ruffin). Geroge Bush, Tony Blair, Mario Aznar ou Sivlio Berlusconi vont devoir jouer serrer !


5°) Les rapports de pouvoir et de contrôle des uns sur les autres à la tête du pouvoir sont fascinants et vraiment très réussis.


6°) Natalie Portman est magnifique dans ce film, avec ses cheveux et encore plus après avoir été tondue.


7°) L'histoire racontée en prison entre les deux femmes est aussi très joliment racontée.


8°) Certaines scènes d'explosion dans Londres sont splendides.


9°) La cache de V ressemble à celle d'un personnage du Jules Verne, genre le capitaine Nemo.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Le film peut être perçu par certains comme une légitimation de la violence terroriste... cela peut être dangereux dans certains esprits un peu fragile de ce point de vue là.


2°) Il y a des scènes sanguinolantes un peu gore qui n'apportent rien au film. Cela peut détourner un public un peu sensible alors que sur le fond ce film est très profond.


Donc il faut s'y précipiter avant qu'il ne quitte les écrans ou bien attendre la sortie en DVD.

mercredi 10 mai 2006

n° 64 : MUSEO ARQUELOGICO NACIONAL

MUSEO ARQUELOGICO NACIONAL (Madrid-Espagne) (N°13073)


Dimanche matin 7 mai 2006, pendant mon séjour à Madrid, je suis allé tout seul faire la visite du Museo arquelògico nacional. Un très beau musée...


Ce que j'ai aimé :


1°) Les collections sont variées de la préhistoire de l'Espagne, en passant par les celtes, les Ibères, les grecs, les phéniciens, les romains, les wisigoths, les musulmans, les royaumes chrétiens du Moyen Âge, il y a même une très belle salle consacrée à l'Egypte ancienne.


Hpim75952°) Il y a des oeuvres magnifiques : la dame de Elche (culture celtibère du IVe siècle avant J.-C.), le trésor des rois wisigoths avec de magnifiques couronnes, de splendides mosaïques romaines et une impressionnante collection de vases grecs).


3°) Le musée était gratuit... peut-être par ce que c'était dimanche.


4°) Je suis arrivé à l'ouverture. Un vrai plaisir, le musée est resté pas mal de temps assez désert... les espagnols ne sont pas des lève-tôt et ce musée n'est pas tellement visité par les nombreux touristes français (contrairement au musée archéologique de Naples évoqué précédemment).


5°) J'ai fait un enregistrement vidéo pour la 1ère fois de ma vie. Pour une exposition organisée à Elche, il était demandé à des volontaires de prendre la parole devant la dame d'Elche pour dire d'où ils venaient. Devant caméro et micro, je me suis donc retrouvé à dire dans la langue de Cervantès "vengo de Paris, soy Francès"...


6°) Le musée est très lumineux et agréable à visiter. Des plans fréquents permettent de se situer dans les collections.


Hpim7625 7°) Il y a une magnifique collection de chapitaux romans. Ils sont vraiment sublimes, un peu comme ceux du musée des Augustins de Toulouse.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Dans la partie préhistorique, un réel problème pour la datation des oeuvres présentées... c'est vraiment gênant car on passe du paléolithique au néolithique, de l'âge du cuivre à l'âge du bronze sans trop savoir à quoi cela correspond pour l'Espagne.


2°) Je n'ai pas trouvé d'audio-guide (de toute façon je n'en avais pas envie) mais j'aurais aimé trouvé un livret avec des explications. Celui que j'ai acheté ne fait que 30 pages et n'est vraiment pas complet.


3°) Il y avait à l'étage une exposition sur l'Espagne et l'Orient de 1166 à 2006... je reste perplexe à propos de son intérêt. L'idée est en gros de dire que l'Espagne a elle aussi participer aux pillages archéologiques en Orient, notamment en Perse, cependant les maquettes de bateaux m'ont donné envie d'aller la prochaine fois au musée naval de Madrid.


Un musée donc pas très connu et qui vaut un passage pendant un séjour long sur Madrid.

mardi 9 mai 2006

n° 63 : Chocolat San Gilnes

Chocolat San Gilnes (Madrid- Espagne) (N°13072)


Pendant mon séjour à Madrid, du 5 au 8 mai 2006, j'ai absolument tenu à retrouver les plaisirs du chocolat chaud madrilène. J'avais déjà connu cette expérience lors de mon voyage en février 2000 Cett fois-ci (avec la contribution de Sabine, la soeur de Gilles), on a un trouvé vraiment un bar excellent pour le chocolat chaud : San Gilnes, à côté de l'église du même nom dans une petite rue.


J'ai adoré :


1°) Le chocolat chaud est excellentissime. Un régal absolu... il est hyper épais et bien noir.


2°) Le chocolat chaud est servi avec d'excellnts churros... ils sont chauds eux aussi, croustillants et légèrement vanillés.


3°) Ce n'est pas très cher : 3 euros (alors qu'on en a essayé des beaucoup moins bons à un autre café et on a payé 4,5 euros)


4°) C'est bien situé... pas loin de la Puerta del Sol et de la Piazza Mayor.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Ben lundi matin du 8 mai, pour le départ, ce café était fermé... je me serais pourtant bien refait un 3e chocolat chaud à San Gilnès.


Il faut que je retourne à Madrid, pas que pour le chocolat chaud car cela a vraiment été un super week end (voir les articles à suivre) mais je n'oublierai pas de refaire un passage chez San Gilnes.

lundi 8 mai 2006

n° 62 : Hôtel Cavour

HOTEL CAVOUR (Naples- Italie)  (N°13071)


Pour aller à Naples en avril (du 12 au 18), j'avais trouvé un hôtel avec sur le site sncf.com : l'Hôtel Cavour.


Ce que j'ai bien aimé :


1°) C'est un hôtel bien situé : il est sur la place Garibaldi, c'est-à-dire celle où se trouve la gare centrale et celle où le bus qui vient de l'aéroport fait son 1er arrêt.


2°) C'est un hôtel confortable. Le genre avec les serviettes et les petits savons au nom de l'hôtel. Un personnel très aimable et vraiment très serviable : il y a un des garçons de la réception qui s'est gentillement chargé de ma confirmation de vol pour le retour.


3°) La douche et les toilettes fonctionnent bien... ce qui n'est pas toujours le cas en Italie du sud. Il n'y a qu'un soir lors duquel la douche n'a pas été vraiment chaude.


4°) Depuis ma chambre, je n'avais pas vu sur la baie de Naples... mais je voyais quand même le Vésuve ce qui n'est pas désagréable lorsque le soleil se couche.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) C'est un hôtel un peu cher : environ 80 euros par nuit. (j'ai payé avec l'avion 736 euros dont 261 euros pour l'avion). On doit pouvoir trouver moins cher mais dans une ville comme Naples je ne voulais pas prendre de risques !


2°) L'Hôtel est situé tout près de la vieille ville et de la gare. Ce n'est pas un des quartiers absolument sûr smais en faisant attention on ne rencontre aucun problème. C'est comme partout, il faut juste faire un peu attention.


3°) J'avais une chambre donnant sur la place Garibaldi... elle n'est pas vraiment calme (surtout le samedi soir : je suis tombé sur le week end lors duquel le club de foot de Naples a réussi à remonter en ligue B, après avoir connu depuis quelques années l'enfer de la ligue C... la 3e division).


En tout cas, mis-à-part si on me file une meilleure adresse, c'est l'hôtel où je retournerai si je vais à Naples.

vendredi 5 mai 2006

n° 61 : Musée Capodimonte de Naples

Musée Capodimonte de Naples (Campanie - Italie) (N°13068)


Pendant mon séjour à Naples, le jeudi 13 avril 2006, je suis allé sur les hauteurs au musée Capodimonte. Un magnifique musée.


Ce que j'ai aimé :


1°) C'est tout d'abord un magnifique palais. On y trouve des salles aussi grandioses que la reggia de Caserte.


2°) Les décors sont intéressants pour le XVIIIe siècle, notamment le surprenant salottino di porcelana et la salle de bal qui est grandiose.


3°) La collection de peinture, en particulier grâce à l'héritage des Farnèse est impressionnante. J'ai par exemple beaucoup aimé le tableau de Pierre Brughel l'ancien, La parabole des aveugles (une image de notre monde actuelle ? )et le tableau de Caravage, la Flagellation (j'adore ce peintre).


4°) Il y avait une splendide exposition sur l'art du portrait de cour à l'époque de Titien. Cela mettait en valeur les portraits de la collection Farnèse du musée mais j'y ai retrouvé des prêts du Louvre, notamment le magnifique portrait de Castiglione par Raphaël. J'y ai d'ailleurs appris que Balthasar Castiglione, auteur du célèbre livre du Courtisan, avait été un piètre ambassadeur. C'est lui qui représentait le Saint-Siège auprès de Charles Quint quand les armées de celui-ci ont saccagé... la ville du pape : Rome.


5°) Il y avait des audioguides vraiment très bien fait avec des commentaires très intéressants.


6°) A l'accueil, le personnel était très aimable.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Il n'y avait pas d'audioguides en français... notre langue recule partout !


2°) La moitié des visiteurs étaient des Français dont certains étaient plus là pour étaler leur science que pour regarder les oeuvres. C'est un peu agaçant quand on est hors de France de subir encore ce genre de situation.


3°) Le musée est vraiment sur les auteurs et je n'ai jamais réussi à trouver le bus qui m'aurait permis de retrouver le centre... j'ai donc fait l'aller et le retour à pied.


4°) Le parc avait l'air assez grand mais tout en longueur et rien ne me semblait fait pour le mettre en valeur.


Un magnifique musée de peinture à ne pas râter lors d'un passage à Naples.

jeudi 4 mai 2006

n° 60 : Piscine de la rue de Pontoise

Piscine de la rue de Pontoise (Paris Ve) (N°13067)


Mardi 2 mai 2006 au matin, je suis allé à la piscine de la rue de Pontoise. Ma piscine habituelle, celle de Saint-Merry, gardait à 7h portes closes pour une raison que j'ignore (et bien sûr l'un des préposés qui étaient là a mis un temps et une non-chalance extrêmes à nous annoncer que la piscine était fermée). Je me suis donc rabattu sur cette piscine de la rive gauche que j'aime bien.


Ce que j'aime bien :


1°) C'est une piscine très belle avec des cabines sur 3 étages situés tout autour du bassin.


2°) C'est un système avec des cabiniers qui ouvrent et ferment les portes. En général, la plupart sont vraiment très sympas (sauf quelques jeunots, les remplaçants en été).


3°) C'est un bassin de 33m. Ca me change du petit bassin de 25m.


4°) C'est une piscine privée. Cela s'en ressent sur l'accueil par le personnel et par les horaires. Il y a beaucoup plus de créneaux d'ouverture.


5°) Je trouve que les douches sont vraiment très agréables. Il y en a qui n'ont plus de pommeau ce qui permet d'avoir un jet avec une super pression.


6°) Il y a un couloir spécial "crawl". Cela permet de se retrouver dans une ligne avec uniquement des nageurs qui ne trainent pas et dans l'ensemble ils sont plutôt sympas.


7°) A pied, l'itinéraire pour y aller de chez moi est très agréable. Je passe par le Pont Louis-Philippe, la pointe de l'ïle Saint-Louis, celle de la Cité et je peux admirer, surtout quand il fait beau comme mardi le magnifique chevet de la cathédrale Notre-Dame depuis le pont de l'archevêché.


Ce que j'aime moins :


1°) C'est une piscine privée... donc la carte trimestrielle de la ville de Paris ne marche pas. L'entrée n'est pas donnée : 3,70 euros.


2°) Il y a parfois un monde fou. J'y suis déjà allé plusieurs lundi à l'ouverture de la fin d'après-midi à 16h30. Ce n'était plus des couloirs de nages mais de vraies autoroutes avec en plus vraiment des nageurs qui nageaint 10000 fois plus vite que moi.


Une piscine où j'aime donc bien allé de temps en temps, surtout quand Saint-Merry et les Halles ne sont pas ouvertes.

lundi 1 mai 2006

n° 59 : Cathédrale de Salisbury

La cathédrale de Salisbury (Wiltshire - Grande-Bretagne)  (N°13064)


Jeudi 7 avril 2006, pendant le voyage scolaire en Angleterre, alors que le reste du groupe faisait du shopping dans Salisbury, nous sommes allés visiter la magnifique cathédrale.


Ce que j'ai aimé :


Hpim6422 1°) C'est une magnifique cathédrale gothique du XIIIe siècle avec un splendide portail principal. En plus, il faisait à ce moment-là un temps splendide.


2°) On y trouve un très beau cloître qui lui aussi était bien mis en valeur par le soleil.


3°) La cathédrale possède un des exemplaires originaux de la Magna Carta, la charte par laquelle le roi Jean "sans Terre" a été obligé d'accorder une limitation des prérogatives royales au début du XIIIe siècle.


4°) La cathédrale est bien mise en valeur car elle est située sur une esplanade de verdure avec des bancs. Un endroit très agréable.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) L'intérieur n'a rien d'exceptionnel...


2°) Cette cathédrale est payante : 4£, c'est à dire environ 6 euros. Ce n'est vraiment pas donné.


3°) Ce jour-là il faisait beau mais vraiment pas chaud. Le soleil sur la photo est trompeur !


4°) Nous étions pressés car nous n'avions qu'environ une demi-heure pour faire cette visite. Après il fallait retrouver les élèves afin de mener la troupe vers le car.


Une cathédrale que je suis très content d'avoir eu le temps de visiter. Il aurait été dommage de s'arrêter à Salisbury sans aller y jeter un coup d'oeil.