Nuclear Weapons +++ (n° 16 534)
Le 27 octobre 2015, j'ai fini de lire le livre de Joseph M. Siracusa, Nuclear Weapons, 2015, 1ère édition, 2008.
Ce que j'ai apprécié :
1°) C'est un livre intéressant pour une étude des relations internationales depuis 1945 tant l'arme nucléaire a joué un rôle important.
2°) On se rend assez rapidement compte que la bombe à Hydrogène mise au point en 1952 a des effets incomparablement plus importants que ceux de la bombe A.
3°) Le livre explique bien combien la course aux armements nucléaires entre les Américains et les Soviétiques étaient devenus complètement irrationnelle avec des stock de bombes qui ont coûté énormément d'argent alors qu'elles étaient inutilement nombreuses. Le seul but était surtout de rassuré leurs propres alliés.
4°) L'ouvrage dans les dernières pages explique très bien les nouveaux risques liés au terrorisme nucléaire.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Il y a des passages un peu technique sur les tractations diplomatiques entre Américains et Soviétiques.
2°) Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris le fonctionnement d'une bombe nucléaire mais je ne suis pas un pro de physique.
J'ai aimé..., J'ai pas aimé... Lecture, cinéma, théâtre, expositions, visites, voyages,...
samedi 31 octobre 2015
vendredi 30 octobre 2015
n° 1021 : Exposition Vigée-Lebrun
Exposition Elisabeth-Louise Vigée Lebrun +++ (n° 16 532)
Le 30 octobre 2015, je suis allé voir l'exposition Elisabeth-Louise Vigée-Lebrun au Grand Palais
Ce que je j'ai aimé :
1°) Cette exposition permet d'observer une impressionnante série de peintures qui sont dans des collections particulières ou dans des musées situées aux Etats-Unis.
2°) L'exposition fait bien comprendre en quoi 1789 marque un basculement. Le départ à l'étranger le 6 octobre 1789 de Vigée-Lebrun marque une vraie rupture : avant cette date, Mme Vigée-Lebrun était une artiste officielle. Elle vivait dans un superbe hôtel particulier de la rue de Cléry. Après cette date, elle sera une proscrite, puis au mieux une ancienne gloire.
3°) L'exposition montre une très belle série de portraits de l'aristocratie française des années 1780. J'aime particulièrement le portrait de Calonne qui fait partie des collections de la Reine d'Angleterre.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) L’œuvre de Mme Vigée-Lebrun n'est pas très variée... si on exclut les portraits.
2°) On sent que les œuvres peintes en exil en Italie dans les années 1790 sont de beaucoup moins bonne qualité.
3°) Il y avait énormément de monde et quelques personnes incroyablement mal polies (du genre à répondre au téléphone, à parler très fort pendant très longtemps... J'ai horreur de ça !).
Pour bien comprendre cette exposition, je recommande le documentaire diffusé sur Arte il y a quelques semaines (Le fabuleux destin d'Elisabeth Vigée-Lebrun, diffusé le samedi 3 octobre 2015).
mercredi 28 octobre 2015
n° 1020 : Elser, un héros ordinaire
Elser, un héros ordinaire +++ (n° 16 531)
Le 28 octobre 2015, je suis allé voir le film "Elser, un héros ordinaire".
Ce que j'ai aimé :
1°) Ce film attire l'attention sur un attentat contre Hitler et les dirigeants nazis organisé à Munich en septembre 1939 et qui est le dernier qui aurait pu -peut-être- d'éviter à l'Europe de basculer dans l'horreur. Cet attentat est intéressant car il a été organisé par un homme seul, non affilié à une organisation et avec ses propres moyens.
2°) Le film pose la question de la légitimité de la violence contre un gouvernement qui viole les droits les plus élémentaires. Il est intéressant de noter que le protagoniste est pacifiste.
3°) Le film est aussi intéressant car il montre les différentes palettes d'adhésion au régime nazi : deux personnages sont particulièrement intéressants : l'officier qui mène l'enquête et qui accepte le recours à la torture mais qui montre un certain respect pour Elser (cet officier en 1944 participera au complot mené par Hitler par Von Stauffenberg) et aussi la Secrétaire qui montre qu'au coeur même du dispositif nazi il pouvait encore y avoir des personnes compatissantes (même si cela ne débouchait sur rien).
4°) Le film est intéressant aussi concernant la façon dont l'encadrement de la vie quotidienne par les nazis se met en place progressivement dans les années 1930 avec l'exemple du village Wurtembergeois où vivait Elser.
5°) Le film insiste sur l'antagonisme entre les valeurs chrétiennes (pour lesquelles, malgré un caractère volage, Elser montre un grand respect) et celles du nazisme.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Il y a des scènes de tortures affreuses. Du coup, je ne recommande pas le film à un jeune public ou à des personnes qui supportent mal la violence.
2°) Je trouve la scène qui montre l'exécution du militaire impliqué dans le complot Von Stauffenberg comme assez inutile par rapport au propos du film. (Sauf s'il s'agit de montrer que seul l'officier de la Gestapo reste lui droit dans ses bottes et ne fléchit jamais).
3°) Je ne sais pas pourquoi mais j'ai eu un peu de mal avec l'acteur Christian Friedel. De même cette relation assez compliquée qu'il entretient avec une femme mariée à un type qui est un abruti total conduit un peu parfois à perdre le fil conducteur du récit. La violence conjugale est un autre thème qui rend encore plus pesante l'ambiance du film.
Un film à voir donc mais qu'on n'a pas vraiment envie de revoir tout de suite.
Le 28 octobre 2015, je suis allé voir le film "Elser, un héros ordinaire".
Ce que j'ai aimé :
1°) Ce film attire l'attention sur un attentat contre Hitler et les dirigeants nazis organisé à Munich en septembre 1939 et qui est le dernier qui aurait pu -peut-être- d'éviter à l'Europe de basculer dans l'horreur. Cet attentat est intéressant car il a été organisé par un homme seul, non affilié à une organisation et avec ses propres moyens.
2°) Le film pose la question de la légitimité de la violence contre un gouvernement qui viole les droits les plus élémentaires. Il est intéressant de noter que le protagoniste est pacifiste.
3°) Le film est aussi intéressant car il montre les différentes palettes d'adhésion au régime nazi : deux personnages sont particulièrement intéressants : l'officier qui mène l'enquête et qui accepte le recours à la torture mais qui montre un certain respect pour Elser (cet officier en 1944 participera au complot mené par Hitler par Von Stauffenberg) et aussi la Secrétaire qui montre qu'au coeur même du dispositif nazi il pouvait encore y avoir des personnes compatissantes (même si cela ne débouchait sur rien).
4°) Le film est intéressant aussi concernant la façon dont l'encadrement de la vie quotidienne par les nazis se met en place progressivement dans les années 1930 avec l'exemple du village Wurtembergeois où vivait Elser.
5°) Le film insiste sur l'antagonisme entre les valeurs chrétiennes (pour lesquelles, malgré un caractère volage, Elser montre un grand respect) et celles du nazisme.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Il y a des scènes de tortures affreuses. Du coup, je ne recommande pas le film à un jeune public ou à des personnes qui supportent mal la violence.
2°) Je trouve la scène qui montre l'exécution du militaire impliqué dans le complot Von Stauffenberg comme assez inutile par rapport au propos du film. (Sauf s'il s'agit de montrer que seul l'officier de la Gestapo reste lui droit dans ses bottes et ne fléchit jamais).
3°) Je ne sais pas pourquoi mais j'ai eu un peu de mal avec l'acteur Christian Friedel. De même cette relation assez compliquée qu'il entretient avec une femme mariée à un type qui est un abruti total conduit un peu parfois à perdre le fil conducteur du récit. La violence conjugale est un autre thème qui rend encore plus pesante l'ambiance du film.
Un film à voir donc mais qu'on n'a pas vraiment envie de revoir tout de suite.
mardi 27 octobre 2015
n° 1019 : Sharpe's escape
Sharpe's escape +++I (n° 16 530)
Le 26 octobre 2015, j'ai fini de lire le livre de Bernard CORNWELL, Sharpe's escape, Harper, 2004
Ce que j'ai aimé :
1°) Je ne connaissais pas les livres de Bernard CORNWELL et encore moins sa série consacrée au Capitaine Sharpe. C'est vraiment très intéressant concernant les Guerres Napoléoniennes.
2°) Ce volume nous replonge dans la campagne de France lors de laquelle les troupes françaises commandées par le Maréchal Massénat essayèrent pour la 3e fois de prendre le contrôle du Portugal en 1810.
3°) L'ouvrage permet de bien comprendre la stratégie menée par Wellington. Attendre que les Français meurent de faim.
4°) L'intrigue montre bien comment dans une guerre, certains peuvent essayer de tirer profit de la situation en attendant de savoir qui finalement va l'emporter. Le personnage portugais de Ferragus qui cherche à faire de la contre-bande avec l'armée française tout comme son frère qui pourtant est un officier.
5°) La description du sac de Coïmbra par l'armée française ne rend pas très glorieuse la Légende napoléonienne.
6°) Il y a vraiment un très bon suspens dans le passage où le capitaine Sharpe s'échappe de Coïmbra par les égouts.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Certaines descriptions de scènes de batailles sont un peu longuettes. Les Français sont toujours sur le point de gagner et ils finissent par perdre... souvent grâce aux interventions de Captain Sharpe qui est ressemble un peu à un Rambo du début XIXe
2°) Pour les Français, il est surprenant d'être toujours désigné comme les Frogs, les Crapauds ou les Bastards... Cela permet certes de se mettre dans le camp des Anglais
Le 26 octobre 2015, j'ai fini de lire le livre de Bernard CORNWELL, Sharpe's escape, Harper, 2004
Ce que j'ai aimé :
1°) Je ne connaissais pas les livres de Bernard CORNWELL et encore moins sa série consacrée au Capitaine Sharpe. C'est vraiment très intéressant concernant les Guerres Napoléoniennes.
2°) Ce volume nous replonge dans la campagne de France lors de laquelle les troupes françaises commandées par le Maréchal Massénat essayèrent pour la 3e fois de prendre le contrôle du Portugal en 1810.
3°) L'ouvrage permet de bien comprendre la stratégie menée par Wellington. Attendre que les Français meurent de faim.
4°) L'intrigue montre bien comment dans une guerre, certains peuvent essayer de tirer profit de la situation en attendant de savoir qui finalement va l'emporter. Le personnage portugais de Ferragus qui cherche à faire de la contre-bande avec l'armée française tout comme son frère qui pourtant est un officier.
5°) La description du sac de Coïmbra par l'armée française ne rend pas très glorieuse la Légende napoléonienne.
6°) Il y a vraiment un très bon suspens dans le passage où le capitaine Sharpe s'échappe de Coïmbra par les égouts.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Certaines descriptions de scènes de batailles sont un peu longuettes. Les Français sont toujours sur le point de gagner et ils finissent par perdre... souvent grâce aux interventions de Captain Sharpe qui est ressemble un peu à un Rambo du début XIXe
2°) Pour les Français, il est surprenant d'être toujours désigné comme les Frogs, les Crapauds ou les Bastards... Cela permet certes de se mettre dans le camp des Anglais
lundi 19 octobre 2015
n° 1018 : Vers l'autre rive
Vers l'autre rive +++I (n° 16 522)
Le 18 octobre 2015, je suis allé voir le film "Vers l'autre rive" de Kyoshi Kuruzawa
Ce que j'ai aimé :
1°) C'est un film très poétique sur un thème pourtant vu et revu au cinéma : le deuil du mari.
2°) Ce film permet de faire un périple qui conduit à découvrir le Japon moderne et le Japon plus traditionnel avec aussi de très beau paysage.
3°) Le film permet de travailler tout le thème du dit et du non dit à l'intérieur du couple avec toute la pudeur des sentiments japonaise. C'est très réussi.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) J'avoue que parfois je ne suis pas sûr d'avoir tout compris, mais faut-il vraiment tout comprendre ?
2°) Il y a quelques clichés (par exemple la veuve qui cherche à rencontrer l'ancienne maîtresse secrète de son mari, la grande sœur qui regrette d'avoir mal traité sa petite sœur malade et décédée en bas âge).
Le 18 octobre 2015, je suis allé voir le film "Vers l'autre rive" de Kyoshi Kuruzawa
Ce que j'ai aimé :
1°) C'est un film très poétique sur un thème pourtant vu et revu au cinéma : le deuil du mari.
2°) Ce film permet de faire un périple qui conduit à découvrir le Japon moderne et le Japon plus traditionnel avec aussi de très beau paysage.
3°) Le film permet de travailler tout le thème du dit et du non dit à l'intérieur du couple avec toute la pudeur des sentiments japonaise. C'est très réussi.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) J'avoue que parfois je ne suis pas sûr d'avoir tout compris, mais faut-il vraiment tout comprendre ?
2°) Il y a quelques clichés (par exemple la veuve qui cherche à rencontrer l'ancienne maîtresse secrète de son mari, la grande sœur qui regrette d'avoir mal traité sa petite sœur malade et décédée en bas âge).
samedi 17 octobre 2015
n° 1017 : L'art délicat du deuil
L'art délicat du deuil +++I (n° 16 521)
Le 16 octobre 2015, j'ai fini de lire le livre de Frédéric LENORMAND, L'art délicat du deuil, Fayard, 2006, édutions point, 2009
Ce que j'ai aimé :
1°) Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un roman policier de Frédéric LENORMAND et j'ai eu du plaisir à retrouver son style et son art de conduire les intrigues.
2°) Autre plaisir, retrouver le juge Ti dont j'ai lu beaucoup d'aventure par Van Geluk et quelques unes par Frédéric Lenormard. Le juge de l'ère Tang est ici plongé dans une affaire où il doit réussir à enrayer une épidémie mystérieuse avec des fantômes qui sont fort inquiétants.
3°) Le dénouement est vraiment très réussi dans cette aventure...
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Il y a quelques ficelles qui sont toujours les mêmes avec le juge Ti.... Les fantômes qui ne sont pas des fantômes/
Le 16 octobre 2015, j'ai fini de lire le livre de Frédéric LENORMAND, L'art délicat du deuil, Fayard, 2006, édutions point, 2009
Ce que j'ai aimé :
1°) Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un roman policier de Frédéric LENORMAND et j'ai eu du plaisir à retrouver son style et son art de conduire les intrigues.
2°) Autre plaisir, retrouver le juge Ti dont j'ai lu beaucoup d'aventure par Van Geluk et quelques unes par Frédéric Lenormard. Le juge de l'ère Tang est ici plongé dans une affaire où il doit réussir à enrayer une épidémie mystérieuse avec des fantômes qui sont fort inquiétants.
3°) Le dénouement est vraiment très réussi dans cette aventure...
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Il y a quelques ficelles qui sont toujours les mêmes avec le juge Ti.... Les fantômes qui ne sont pas des fantômes/
dimanche 4 octobre 2015
n° 1016 : La promesse du Samouraï
La promesse du Samouraï ++I (n° 16 507)
Le 4 octobre 2015, j'ai fini de lire le livre de Dale FURUTANI, La promesse du Samouraï, traduction Katia HOLMES, 2005, édition originale Death at the crossroads, 1998.
Ce que j'ai aimé :
1°) Cet ouvrage nous plonge dans le Japon du XVIIe siècle au moment de la prise de pouvoir des Tokugawa.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) L'enquête du Samouraï Matsuyama Kaze n'a rien de très enthousiasmant... Je n'ai pas été hyper emballé.
Le 4 octobre 2015, j'ai fini de lire le livre de Dale FURUTANI, La promesse du Samouraï, traduction Katia HOLMES, 2005, édition originale Death at the crossroads, 1998.
Ce que j'ai aimé :
1°) Cet ouvrage nous plonge dans le Japon du XVIIe siècle au moment de la prise de pouvoir des Tokugawa.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) L'enquête du Samouraï Matsuyama Kaze n'a rien de très enthousiasmant... Je n'ai pas été hyper emballé.
samedi 3 octobre 2015
n° 1015 : Premodern Japan
Premodern Japan +++I (n° 16 506)
Le 22 septembre 2015, j'ai fini de lire le livre de Mikiso HANE et Louis G. PEREZ, Premodern Japan, Westview Press, 2nd edition, 2015
Ce que j'ai aimé :
1°) C'est une version complètement revue d'un ouvrage très complet sur l'Histoire du Japon jusqu'au début de l'ère Meiji. Ca tombe bien puisque je m'intéresse particulièrement au Japon "prémoderne". J'aime les différentes périodes qui se succèdent du VIIe au XIXe siècle et qui ont toute une certaine unité.
2°) Malgré le sujet un peu universitaire, l'ouvrage est vraiment intéressant à lire.
3°) L'ouvrage consacre plus que d'autres des pages à l'Histoire du genre (avec en particulier des résumés très intéressants sur la vie sexuelle et l'homosexualité au Japon).
4°) L'ouvrage contient aussi des pages passionnantes sur l'Histoire culturelle.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) L'ouvrage aurait gagné en qualité en présentant quelques illustrations (notamment pour illustrer les développements sur l'architecture et les arts en général)
A lire en complément d'autres livres consacrés à l'Histoire du Japon :
MAISON et CAIGER, A History of Japan, 1997 (voir article du 11 décembre 2012)
MURASE, L'art du Japon, 1996 (voir article 28 janvier 2012)
GOTO-JONES, Modern Japan, 2009 (voir article du 27 janvier 2012 et du 17 août 2009)
MARTIN, L'art japonais, 1926 (voir article du 9 janvier 2012)
CLEMENTS, The Samouraï, The History of a Warrior Elite, 2010 (voir article du 23 décembre 2011)
Le 22 septembre 2015, j'ai fini de lire le livre de Mikiso HANE et Louis G. PEREZ, Premodern Japan, Westview Press, 2nd edition, 2015
Ce que j'ai aimé :
1°) C'est une version complètement revue d'un ouvrage très complet sur l'Histoire du Japon jusqu'au début de l'ère Meiji. Ca tombe bien puisque je m'intéresse particulièrement au Japon "prémoderne". J'aime les différentes périodes qui se succèdent du VIIe au XIXe siècle et qui ont toute une certaine unité.
2°) Malgré le sujet un peu universitaire, l'ouvrage est vraiment intéressant à lire.
3°) L'ouvrage consacre plus que d'autres des pages à l'Histoire du genre (avec en particulier des résumés très intéressants sur la vie sexuelle et l'homosexualité au Japon).
4°) L'ouvrage contient aussi des pages passionnantes sur l'Histoire culturelle.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) L'ouvrage aurait gagné en qualité en présentant quelques illustrations (notamment pour illustrer les développements sur l'architecture et les arts en général)
A lire en complément d'autres livres consacrés à l'Histoire du Japon :
MAISON et CAIGER, A History of Japan, 1997 (voir article du 11 décembre 2012)
MURASE, L'art du Japon, 1996 (voir article 28 janvier 2012)
GOTO-JONES, Modern Japan, 2009 (voir article du 27 janvier 2012 et du 17 août 2009)
MARTIN, L'art japonais, 1926 (voir article du 9 janvier 2012)
CLEMENTS, The Samouraï, The History of a Warrior Elite, 2010 (voir article du 23 décembre 2011)