dimanche 30 septembre 2007

n° 376 : La tartine

La tartine +++I (N°13581)


Voilà une bonne adresse où je me rends de temps en temps pour manger, pour boire un verre ou un café : La tartine, 24, rue de Rivoli, Paris IVe, 01.42.72.76.85.


Ce que j'aime :


1°) La cuisine est bonne et variée. Je conseille particulièrement les desserts.


2°) La déco est sympa : c'est celle d'un café parisien avec une entrée côté rue de Rivoli et une autre sur la rue du roi de Sicile.


3°) La clientèle est assez variée.


4°) En général, les vins sont de très bonne qualité.


Ce que l'on peut regretter :


1°) Les prix ne sont pas donnés. Par exemple, le café en salle est à 2,50 euros (1,10€ au comptoir).


Bar La Tartine

samedi 29 septembre 2007

n° 375 : la Pizzeria Soprano

Pizzeria Soprano +++ (N°13580)


Hier, pour fêter le 13579e jour, je suis allé à la pizzeria Soprano, 5, rue Caron, 75004 Paris, 01.42.72.37.21.


Ce que j'ai aimé :


1°) C'est une très belle adresse, à un angle de la place du marché Sainte-Catherine, dans une petite salle avec des pierres apparentes.


2°) Les pizzas sont de très bonne qualité avec quelques recettes imaginatives.


3°) Le service est agréable, même si se faire appeler "maestro" par le cameriere est un peu ridicule.


4°) Cela fait du bien de changer un peu de mes pizzerias habituelles.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Les deux desserts que nous avons essayés (Tiramisu et la Tarte au chocolat) n'ont rien eu d'enthousiasmant.


2°) Il y a peu d'espace et donc il faut éviter d'y aller quand c'est bondé.

mercredi 26 septembre 2007

n° 374 : L'impasse

L'impasse ++ (N°13 577)


Lundi 26 septembre 2007, j'ai fini de lire le livre de Lionel JOSPIN, L'impasse, Café Voltaire, Flammarion, 2007.


Ce que j'ai aimé :


1°) Le livre permet de faire un bon rappel sur la catastrophique campagne de Ségolène Royal. Et ce n'est pas de la misogynie !


2°) Lionel Jospin ne fait pas qu'un réquisitoire. Il propose des perspectives notamment pour que le PS réussisse à devenir un grand parti de gauche. Pour le discréditer, le journal Libération de la semaine dernière n'a fait que publier les pages hostiles à Ségolènr Royal.


Ce que je n'ai pas aimé :


1°) On a l'impression que l'histoire de l'humanité a connu le nirvana suprême pendant le gouvernement Jospin de 1997 à 2002. On oublie l'état dans lequel était la France en 2002. Monsieur Jospin met sa défaite sur le compte de la désunion de la Gauche purielle, mais il n'y a pas une ligne pour expliquer les 18% de Français qui ont voté Lepen après les 5 ans de son gouvernement.


2°) Jospin, malgré son retrait de la vie politique, fait preuve encore d'un incroyable sectarisme. A droite, personne ne trouve grâce à ses yeux.


3°) Toute la première moitié de l'ouvrage est un peu confuse et semble écrite au fil de la plume.


lundi 24 septembre 2007

n° 373 : Piscine Armand Massard

Piscine Armand Massard +++ (N°13575)


Le 9 septembre 2007, pour la 1ère fois depuis plus d'un an, je suis retourné à la piscine Armand Massard qui avait été fermé pendant de très nombreux mois en 2006-2007.


Ce que j'ai aimé :


1°) Les vestiaires ont été refaits. Cela permet de retrouver des casiers avec des bracelets entiers et de nouveaux casiers à code.


2°) C'est avec plaisir que l'on retrouve cette piscine avec deux bassins : un de 25m et un de 33m. Cela permet d'avoir de la place pour nager. Ce dimanche matin, à 8h, l'ambiance était vraiment calme.


3°) La piscine est située tout près de la station Montparnasse sur la ligne 4 et donc très facile d'accès depuis le centre de Paris.


4°) La piscine est dédié à un fleuretiste un peu oublié mort en 1971. Je n'ai presque rien trouvé sur lui sauf un article concernant les J.O. de 1936.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Le personnel de la piscine est toujours aussi nonchalant. Une personne a mis un temps incroyable à souscrire son abonnement ce qui fait que tout le monde a attendu un temps incroyablement long.


2°) Les vestiaires ont une organisation qui reste un peu confuse puisqu'ils sont mixtes mais que les cabines ne sont pas juste à côté.


Piscine Armand Massard (15ème)

dimanche 23 septembre 2007

n° 372 : Le conseiller d'Etat

Le conseiller d'Etat +++I (N°13574)

Hier, le 22 septembre 2007, j'ai fini de lire le livre de Boris AKOUNINE, Le conseiller d'Etat, 1ère édition en russe, 1999, traduction de Paul LEQUESNE, éditions de la Cité, 2003, éditions 10/18 N°3749, 2005.

Ce que j'ai aimé :

1°) C'est la 6e fois que je retrouve les aventures d'Eraste Pétrovitch Fandorine. Le conseiller spécial de la police de Moscou est impliquée dans une enquête concernant de dangereux terroristes. Par rapport à d'autres romans de la série, AKOUNINE écrit un roman moins déroutant avec une trame beaucoup plus linéaire dans laquelle le personnage auquel on est le plus attaché, Fandorine, occupe bien les premiers rôles.

2°) C'est un roman génial pour montrer l'imbroglio entre les polices et les relations occultes entre les services spéciaux et les réseaux terroristes.

3°) Encore une fois, avec le personnage de Grine, AKOUNINE invente un ennemi public N°1 hors du commun.

4°) J'aime bien l'idée du personnage Grine qui exprime par une couleur ce qu'il ressent des personnages qu'il rencontre.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) AKOUNINE a toujours tendance à décrire des personnages qui se sont forgés dès l'adolescence un mental d'acier (voir les articles N°13 368 et 13083 dans la rubrique "livres").

vendredi 21 septembre 2007

n° 371 : Pizzeria Caffé Vito

Pizzeria Caffé Vito +++I (N°13 572)


Depuis cet été, je me suis rendu à plusieurs reprises dans une pizzeria située tout près de chez moi et qui a rouverte depuis peu : La pizzeria Caffé Vito, 12, rue des archives, 75 004 Paris, 01 42 74 08 84.


Ce que j'apprécie :


1°) Le restaurant a été complètement refait. Alors qu'avant on s'y sentait étouffé, désormais on respire, la salle est largement ouverte vers la rue. Je conseille le 1er étage où on peut manger tranquillement.


2°) Le service est vraiment très bien. Les garçons ne sont pas des bêcheurs comme dans certains bars ou restaurants du quartier.


3°) Les pizzas sont vraiment très bonnes et il y a des choix originaux.


4°) A la carte, on peut trouver en pichet plusieurs vins rouges et ce ne sont pas des piquettes.


5°) Le patron qui a racheté est un homme jeune qui montre un réel souci de bien faire.


Ce que j'aime moins :


1°) J'apprécie peu les types qui s'exposent en terrasse puisque c'est désormais possible aussi dans ce lieu. On y trouve des imbéciles de 1ère catégorie qui se croient supérieurs aux autres parce qu'ils paradent sur un bout de trottoir du marais.


2°) Parfois le serice est un peu dépassé par l'affluence et le temps d'attente est un peu long.


lundi 17 septembre 2007

n° 370 : La vérité... ou presque

La vérité ou presque +++ (N°13 568)


Hier, dimanche 16 septembre 2007, je suis allé voir le film La Vérité ou presque.


Ce que j'ai aimé :


1°) Le film est servi par des acteurs de très grandes qualités, notamment André Dussolier et surtout Karin Viard.


2°) Ce film fait comprendre que dans les couples, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire... Certes, ce n'est pas une idée très innovante.


3°) J'ai aimé la comparaison entre les relations dans le couple et les cycles de machine : lavage, essorage, etc...


4°) Dans un article récent consacré à la Fille coupée en deux, je regrettais que la ville de Lyon pù se déroule le film n'était pas mise en valeur. Avec La vérité... ou presque, on en a pour son argent avec notamment de très belles vues des traboules.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Le personnage joué par François Cluzet tourne un peu au n'importe quoi. Sa brutale et tardive bisexualité n'est pas vraiment crédible.


dimanche 16 septembre 2007

n° 369 : Histoire de l'Allemagne

Histoire de l'Allemagne - (N°13567)

Hier, j'ai fini de lire le livre de "Jacques DROZ", Histoire de l'Allemagne, Que sais-je ? N° 186, Presses "universitaires" de France, 1ère édition 1945, réédition, juin 2007.

Ce que je n'ai pas aimé :

1°) Jacques DROZ est mort en 1998. Un chapitre sur la réunification a été rajouté par on ne sait pas qui... De plus, le chapitre précédent sur la division entre la RFA et la RDA s'achève avec des lignes qui ont été écrites avant la réunification et pose la question de savoir si la division sera appelée ou pas à perdurer.

2°) Même le chapitre sur la réunification s'arrête en 1991. Donc, évidemment rien sur Schröder ou sur Merkel. Là encore rien n'est dit pour le signifier au lecteur.

3°) La bibliographie est surannée et désuète. Comme pour le Que sais-je sur l'Hindouhisme, cet ouvrage est fort inquiétant en ce qui concerne l'état des Presses Universitaires de France.

4°) L'ouvrage commence avec une introduction qui part de la fin du XIVe siècle pour s'arrêter au XVIIIe siècle. Commencer à cette période nécessiterait au moins une explication.

Ce que j'ai apprécié malgré tout :

1°) Je n'avais jamais entendu parler de "l''affaire de Saverne" de 1913... A creuser.

2°) En 1945, l'Allemagne a perdu 24 % de son territoire d'avant Hitler.

3°) J''avais oublié que la Prusse et l'Autriche avaient fait la guerre au Danemark en 1864.

samedi 15 septembre 2007

n° 368 : Deutsches Historisches Museum

DEUSCHES HISTORISCHES MUSEUM ++I (N°13 566)

Le 13 août 2007, je suis allé au Deutsches Historisches Museum de Berlin.

Ce que j'ai aimé :

1°) C'est un musée très "pédagogique" qui permet de survoler très rapidement l'histoire de l'Allemagne à l'époque où elle n'était pas encore unifiée, des Romains jusqu'au XIXe siècle.

2°) Il y a des salles fort nombreuses sur l'unification de l'Allemagne, le IIe Reich, la République de Weimar, le IIIe Reich, la RFA et la RDA, la réunification.

3°) Dans la salle de cinéma, le musée diffuse un documentaire très intéressant et compréhensible (même pour moi qui parle très peu l'allemand puisque je l'ai appris par moi-même).

4°) Certains documents sont très intéresssants pour l'histoire de France : par exemple une carte de la France de la fin du règne de Louis XIV qui montre déjà l'existence de l'expression 'Ile de France" pour la région parisienne.

5°) Les salles du musée sont très spatieuses et plutôt calme car ce n'est pas un musée très visité. Il possède une magnifique cour couverte.

6°) C'est un des rares musées ouverts le lundi !

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Les nombreuses salles du 1er étage consacrées à la montée du nazisme et au IIIe Reich laissent une grande impression de malaise. Des nostalgiques de cette époque peuvent prendre les documents au 1er degré.

2°) Les tableaux très nombreux qui illustrent le musée sont des copies (parfois de qualité très incertaine). Cela n'est signalé nul part.

vendredi 14 septembre 2007

n° 367 : Le cuisinier de Talleyrand

Le cuisinier de Talleyrand +++ (N°13 565)

Aujourd'hui, vendredi 14 septembre 2007, j'ai fini de lire le livre de Jean-Christophe DUCHON-DORIS, Le cuisinier de Talleyrand, Julliard, 2006, Editions 10/18 N°4038, mai 2007.

Ce que j'ai aimé :

1°) DUCHON-DURIS change d'époque et de lieux puisqu'après trois tomes consacrés aux histoires de Guillaume de Lautaret en France au début du XVIIe siècle, il nous enmène 100 ans plus tard à Vienne en 1814 au moment où le Congrès de Vienne se réunit après la défaite de Napoléon et son exil à l'île d'Elbe. Je me suis ainsi  replongé ainsi dans cette période de la fin de l'Empire puisqu'en avril j'avais lu le livre d'Armand CABASSON, La Mémoire des flammes (qui se dérouie au début de 1814) et en septembre 2006, le 3e livre de la trilogie d'Henri TROYAT, Le Moscovite : Les feux du matin (voir les articles relatifs à ces livres).

2°) Ce roman historique permet de mieux connaître les arcanes du Congrès de Vienne dans la 2e moitié de 1814 et comment Talleyrand, représentant de Louis XVIII, a su réintroduire la France dans le jeu des puissances grâce à sa grande "subtilité". Il réussit à gagner dans son camp l'Autriche et la Grande-Bretagne qui craignent les appétits excessifs de la Prusse et de la Russie.

3°) Ce livre est un hommage aux plaisirs de la table et de la cuisine.

4°) Le denouement de l'enquête policière est assez réussi ce qui est bien sûr un point important pour ce genre de romans de la série "grand détective".

5°) Le livre rend assez bien l'ambiance du "Congrès s'amuse" qu'a connu la ville de Vienne en 1814.

6°) Le livre rappelle de manière fort intéressante la guerre entre les Etats Unis et le Royaume Uni de juin 1812 à janvier 1815 : cette guerre a en partie pesé sur le Congrès de Vienne. Elle a conduit Wellington à partir sur le continent américain. (page 234). Que ce serait-il passé si elle avait duré et si Wellington n'avait pas été présent en juin 1815 à WAterloo après le retour d'exil de Napoléon. Voilà un autre beau sujet de roman.

7°) Le roman laisse penser que si, en février 1815, Napoléon a pris le risque de reprendre le pouvoir en France c'est par ce qu'il savait que les Alliés avaient déjà décidé de l'éloigner à Sainte-Hélène.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Les titres des chapitres avec des litanies de plats. Au début, on trouve que c'est une idée géniale mais cela devient vite barbant. Un plat comme titre par chapitre aurait été beaucoup moins indigeste.

2°) On se perd un peu parfois dans le plan de Vienne en 1814. Il est vrai que je ne connais pas du tout cette ville, mais je ne dois pas être le seul...

jeudi 13 septembre 2007

n° 366 : mon frère est fils unique

MON FRERE EST FILS UNIQUE +++ (N°13 564)


Aujourd'hui, jeudi 13 septembre, je suis allé voir le film Mon frère est fils unique.


Ce que j'ai aimé :


1°) Voilà un bon film italien. L'occasion idéale pour moi d'entendre cette langue puisque j'ai suivi des cours pour m'améliorer dans cette langue en 2005-2006.


2°) Ce film traite des rapports entre deux frères : beaucoup de choses les opposent mais ils finissent malgré tout par se retrouver... même si je ne raconte pas la fin.


3°) Ce film est intéressant pour l'histoire de l'Italie des années 60-70 avec la force des mouvements gauchistes d'une part, fascistes d'autre part.


4°) Le film permet de découvrir une des villes construites dans le style Mussolini : Latina, une des villes construites dans les Marais pontins. Certaines prises de vue de ce style architectural sont très intéressantes.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Je trouve que le cinéma italien pratique un peu trop systématiquement les chroniques familiales avec une empreinte très forte des "années de plomb" : cela m'a rapelé par exemple Romanzo criminale.


mercredi 12 septembre 2007

n° 365 : Perroquet libéré

Le perroquet libéré ++++ (N°13 563)

Il faut soutenir le site "Perroquet libéré" et le site qu'il voulait créer pour pouvoir débattre à propos du bilan de Bertrand Delanoë à Paris. Celui-ci par son acharnement en justice contre le site que le "perroquet libéré" voulait créer montre le sectarisme qui est la caractéristique de sa politique.

Le Perroquet libéré depuis des années est un site qui recueil l'avis des Parisiens et est à leur écoute... n'en déplaise à M. Delanoë !

mardi 11 septembre 2007

n° 364 : The European Union

The European Union +++     (N°13562)


Aujourd'hui j'ai fini de lire le livre de John PINSER, The European Union, A very short introduction, Oxford University Press, 2001.


Ce que j'ai aimé :


1°) Voilà un ouvrage concis et très complet relatif à l'Union Européenne, son histoire, ses enjeux.


2°) L'ouvrage montre le point de vue d'un britannique europhile qui essaie de faire un plaidoyer pour convaincre ses concitoyens de changer d'attitude.


3°) L'ouvrage permet sur chaque dossier de comprendre quel rôle a joué le Royaume Uni.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) L'ouvrage est déjà un peu daté : il date de 2000 et pas mal de choses ont changé depuis : le projet de Constitution et son échec en raison du non au referendum.


dimanche 9 septembre 2007

n° 363 : La fille coupée en deux

La fille coupée en deux ++ I (N°13560)


Aujourd'hui, dimanche 9 septembre 2007, je suis allé voir le film La fille coupée en deux.


Ce que j'ai aimé :


1°) J'aime beaucoup le casting : Ludivine Sagnier est GENIALE. Benoît Magimel a un rôle qui lui va très bien. François Berléand est parfait dans le rôle  du vieux un peu libidineux et qui en même temps se cherche.


2°) J'aime beaucoup la peinture de la bourgeoisie lyonnaise incarnée par la famille de Benoît Magimel (Paul Gaudens). L'actrice qui joue sa mère (Caroline Sihol) est parfaite dans le rôle de la mère qui incarne les valeurs de la haute bourgeoisie.


3°) A nouveau (après Roman de gare), un film intéressant sur le métier d'écrivain et le rapport à l'écriture.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Le film présente comme souvent chez Chabrol une charge très forte contre la bourgeoisie : ces réseaux, ces petits accomodements avec la morale, ...


2°) Le film se passe à Lyon mais cette très belle ville aurait pu être bien mieux mise en valeur.


samedi 8 septembre 2007

n° 362 : Gemäldegalerie (Berlin)

Gemäldegalerie (Berlin) +++I (N°13559)

Le 10 août 2007, à Berlin, je suis allé visiter la Gemäldegalerie.

Ce que j'ai aimé :

1°) Le musée possède une très belle collection de peintures anciennes : des peintres flamands (un magnifique Vermeer, de nombreux Rembrandt et Rubens,...), des italiens (notamment Boticelli, Le Caravage,...)

2°) Le lieu est vraiment très agréable avec un vaste hall centrail complètement vide et calme avec juste une fontaine qui fait entendre un bruit de ruissellement.

Ce qu'il faut admettre :

1°) Bien sûr la collection est beaucoup moins riche que celle du Louvre ou de la National Gallery.

vendredi 7 septembre 2007

n° 361 : mon blog professionnel

Avec la rentrée, je viens de créer un nouveau blog consacré uniquement à mon travail.

n° 360 : Et le bunker était vide

Et le bunker était vide ++ (N°13 558)

Le 4 septembre 2007, j'ai fini de lire le livre de Fabrice BOUTHILLON, Et le bunker était vide. Lecture du testament politique d'Adolf Hitler,  Hermann, avril 2007.

Ce que j'ai aimé :

1°) Ce petit livre (moins de 100 pages) permet de découvrir le testament politique et le testament privé d'Adolf Hitler. Ils ont été écrits le 29 avril 1945, à la  veille de sa mort.

2°) Ce testament montre la folie antisémite de Hitler jusqu'à sa mort. Il revendique la mort des Juifs au nom de la lutte contre la "juiverie internationale" (les deux derniers mots de son testament politique).

3°) Ce testament politique ne contient AUCUN mot contre le communisme et l'URSS alors qu'il est très sévère avec le capitalisme : d'après le commentaire de BOUTHILLON, il faut y voir la stratégie ultime de Hitler : la recherche d'une paix séparée avec Staline.

4°) Comme le dit fort bien BOUTHILLON, Hitler par ces deux testaments veut faire croire qu'il meurt en combattant au coté de son peuple, il masque la réalité : en fait, il ne fait que se suicider.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Dans l'analyse des testaments, BOUTHILLON fait de très longs développement un peu scabreux concernant le "centrisme" du nazisme : c'ette idéologie par son refus du capitalisme libéral et du communisme serait une voie médiane qui du coup aurait eu jusqu'au bout du mal à choisir entre une paix séparée avec les anglo-américains ou avec les Soviétiques car cela aurait signifié la fin de la spécificité du nazisme.

2°) L'auteur consacre un chapitre entier consacré à la volonté d'Adolf Hitler de créer une nouvelle religion dont il aurait été le nouveau prophète. C'est complètement délirant.

mardi 4 septembre 2007

n° 359 : Le Fantôme de l'Opéra

Le Fantôme de l'Opéra - (N°13555)


Hier, le 3 septembre 2007, j'ai fini de lire le livre de Gaston LEROUX, Le fantôme de l'Opéra, Livre de poche n°509, 1959, 1ère édition 1910.


Ce que j'ai détesté !!! :


1°) Le style est lourd. L'histoire est d'un gnan-gnan insupportable. Le livre m'est tombé des mains. Je me suis demandé si j'allais avoir le courage de le finir.


Ce qu'on peut malgré tout apprécier :


1°) Le roman permet de s'intéresser aux fondations de l'Opéra de Paris... avec un chimérique lac souterrain.


lundi 3 septembre 2007

n° 358 : La Malmaison

La Malmaison + I (N°13554)


Samedi 1er septembre 2007, je suis allé visiter le château de La Malmaison.


Ce que je n'ai pas aimé :


1°) J'ai connu ce château dans mon enfance et j'en gardais un bon souvenir. Or, je trouve qu'il est désormais de plus en plus déserté. Certaines pièces sont en très mauvais état. Les visites guidés qui existaient jadis ont disparu.


2°) Il s'agit du chateau de Joséphine de Beauharnais. Celle-ci n'avait pas un goût très sûr... Cela fait un peu nouveau riche.


3°) Symbole de la déshérence de ce château, celui de Boispréau situé tout près et consacré aux reliques de Napoléon est ... fermé !


Ce que j'ai apprécié :


1°) Le parc situé autour du château est assez agréable. Il est bon toutefois de longer le mur extérieur du château pour retrouver le parc de Boispréau qui correspond à un autre morceau de la propriété de Joséphine et qui a été profondément divisé depuis. Le parc de Boispréau est gratuit et donc il est beaucoup plus vivant et il est fort agréable avec des arbres d'essences très différentes.


2°) Certaines pièces du palais sont tout de même impressionnantes : la salle du conseil en forme de tente militaire, la chambre de Josephine et la bibliothèque de l'Empereur. Un must pour les nostalgiques de l'Empire.


3°) Dans l'église de Rueil-Malmaison située tout près de là, on trouve le tombeau de Joséphine et de sa fille la reine Hortense (maman de Napoléon III).


dimanche 2 septembre 2007

n° 357 : Le stade olympique de Berlin

Le stade olympique de Berlin +++ (N°13553)

Lundi 13 août 2007, je suis allé visiter le stade olympique de Berlin.

Ce que j'ai aimé :

1°) On ne peut pas s'empêcher, dans ce lieu, de penser à la folie qui avait soufflé sur l'Allemagne au moment où ce stade a été construit, c'est-à-dire en 1936 pour les JO patronés par Adolf Hitler.

2°) Il reste des traces du décor de cette époque : la cloche des jeux avec l'aigle allemand, la porte de Brandebourg, des statues colossales dans le style massif du surhhomme des années 30 et surtout le design des coursives extérieures qui par leur régularité font inmaquablement penser à un pouvoir totalitaire.

3°) La plaque commémorative des JO de 1936 rappelle que Jessie Owens, un athlète noir américain, a remporté deux médailles d'or (à la plus grande colère de Hitler).

4°) Le stade a été rénové pour la coupe du monde de foot-ball de 2006. Le toit qui a été ajouté donne une très belle forme à ce stade. Les couloirs de course bleus donnent une très belle esthétique à l'ensemble. Il peut accueillir 77 000 personnes.

5°) La piscine qui est juste à côté... voir un des articles précédents dans la rubrique "piscine".

Ce que j'ai moins aimé :

1°) On est toujours un peu gêné par le sentiment que pourrait ressentir des personnes adhérant encore aux idées nazies. Fallait-il conserver ce stade et surtout les statues situées tout près d'où Hitler arranguait la foule (le champ de mai pouvait accueillir plusieurs centaines de milliers de personnes). La question vaut au moins le coup d'être posé or finalement rien n'est fait pour rappeler cela. Par exemple, il serait bon de mettre une photo de Jessie Owens (son nom est simplement sur une plaque avec les autres athlètes) et de préciser en quoi ses victoires étaient un déni des idées racistes nazies.

2°) Je n'ai pas trouvé l'accueil de très bonne qualité.

samedi 1 septembre 2007

n° 356 : L'abbaye aux dames (Caen)

L'abbaye aux dames (Caen) +++    (N°13552)


Mardi 28 août 2007, je suis allé visiter l'abbaye-aux-Dames de Caen.


Ce que j'ai aimé :


1°) L'abbatiale commencée au XIe siècle est un magnifique bâtiment, en partie roman, en partie gothique.


2°) Dans le choeur de l'abbatiale se trouve le tombeau de Mathilde, la femme de Guillaume le Conquérant. La plaque qui lui est dédiée est particulièrement émouvante.


3°) Le cloître et les bâtiments abbatiaux ont été refaits au XVIIIe siècle. C'est un très ben ensemble d'inspiration néo-classique.


4°) La visite guidée est gratuite. Elle permet aussi de découvrir la crypte située sous le choeur de la cathédrale et les bâtiments qui aujourd'hui sont affectués au conseil régional de Basse Normandie, la salle de réunion "Alexis de Tocquevile" située dans les ancienne cuisines et surtout le lavatorium qui est une très belle salle inspirée par Claude-Nicolas Ledoux.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) A l'accueil des visites, la personne qui était derrière le guichet a tout fait pour nous inciter à ne pas attendre la visite guidée. Le jeune monsieur nous a demandé si vraiment on était sûr de vouloir une visite guidée...


2°) Il est quand même dommage que tous les bâtiments médiévaux, sauf l'abbatiale, aient dû être refaits.