Un bloc notes créé en janvier 2006 à vocation d'abord personnelle. Si cela en intéresse d'autres tant mieux sinon... tant pis !

samedi 22 mars 2014

n° 913 : The Poison Maiden

The Poison Maiden ++ (n° 15 945)

Le 20 avril 2014, j'ai fini de lire le livre de Paul Doherty, The Poison Maiden, headline publishing, 2007.

Ce que j'ai peu aimé :

1°) L'auteur considérant, peut-être à juste titre, qu'il a un fini d'user le personnage détective de Hugh Corbett dont j'ai lu les nombreuses enquêtes qui se passent sous le règne d'Edouard Ier d'Angleterrre, met en scène ici une femme détective, Mathilde qui nous permet de découvrir les 1ères années du règne d'Edouard II. Je trouve que le personnage n'est pas très crédible.

2°) L'auteur se lance parfois dans des phrases en français mais il devrait relire par un francophone. Sous prétexte qu'un personnage s'adresse à une femme il l'appelle "ma coeur" (page 117). Les Anglais ont bien du mal à comprendre le genre des noms en français. Il passe son temps à traduire "The Poison Maiden" par la "Demoiselle venimeuse" alors que la "Demoiselle empoisonneuse" aurait beaucoup mieux collé à la l'expression anglaise". L'auteur se pique de parler français alors qu'il ne maîtrise pas cette langue. Il y a donc des passages où l'utilisation du français est risible.

3°) Doherty utilise toujours le même fond de commerce anti Philippe IV le Bel. On a toujours l'impression que lui et ses agents sont l'incarnation du diable.

Ce que j'ai apprécié :

1°) Ce roman policier met en lumière le rôle de Marguerite de France, la veuve d'Edouard Ier (et soeur de Philippe le Bel). C'est un personnage beaucoup moins bien connu que sa nièce, Isabelle de France, fille de Philippe le Bel et femme d'Edouard II.

2°) L'auteur parle du courage et de la témérité de Peter Gaveston, le "compagnon" d'Edouard II. On évite donc les poncifs habituels concernant le côté poule mouillée de son personnage en raison de sa liaison avec un autre homme.

vendredi 7 mars 2014

n° 912 : London Philarmonic Orchestra


La 9e symphonie de Beethoven par le London Phalarmonic Orchestra ++I (n° 15 930)

Le 2 mars 2014, je suis allé entendre la 9e symphonie de Beethoven interprétée par le London Philarmonic Orchestra dirigé par Vladimir Jurowski et avec les chanteurs du London Philarmonic Choir.

Ce que j'ai aimé :

1°) Bon entendre la 9e symphonie de Beethoven, on est certain de ne pas entendre de mauvaise musique...

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Les choeurs (qui interviennent très tard, dans le final), on eut tendance à donner parfois dans la cacophonie. Loin d'être parfait.

2°) Cette musique est tellement connu que l'on a du mal à être ému.