Un bloc notes créé en janvier 2006 à vocation d'abord personnelle. Si cela en intéresse d'autres tant mieux sinon... tant pis !

jeudi 31 juillet 2014

n°929 : Paris revealed

Paris revealed ++I (n°16 077)

Le 30 juillet 2014, j'ai fini de lire le livre de Stephen CLARKE, Paris revealed, The secret life of a city, Black Swann Edition, 2012, 1ère édition 2011.

Ce que j'ai aimé :

1°) L'auteur britannique qui vit à Paris tombe beaucoup moins dans les clichés débiles concernant les Français comme il s'est plu à le faire dans le livre qui l'a fait connaître "A Year in the merde" (dans lequel certains passages étaient ridicules car c'est lui qui montrait une incroyable méconnaissance de la France tout en se permettant de critiquer alors que c'est lui qui ne comprenait rien). Ici dans certains passages, il garde un regard critique mais on sent qu'il aime Paris. Cela change le ton de l'ouvrage.

2°) Clarke admet que les Parisiens sont agressifs et stressés mais " no more than the inhabitants of any big commuter city. And if they seem intimidating only because they know how the city works, and therefore get impatient with people who don't - the tourists and provincials".

3°) Un passage amusant "What you have to do to become a Parisian is get into your head that you are the most important being in the universe".

4°) Alors que je pense connaître très bien Paris, j'ai appris grâce à ce livre quelques petites choses. Par exemple, d'après l'Hôtel de Ville il y a 484 000 arbres à Paris (page 55). C'est en 1923 qu'il a été interdit de se baigner dans la Seine (page 70). Je ne savais pas que la ligne 4 avait été ouverte le 9 janvier 1910... à peine quelques jours avant la grande crûe qui a obligé à fermet la ligne.

5°) Le seul café cité pour le 4e arrondissement c'est "Les Marronniers" rue des Archives et j'avoue que cela m'a fait plaisir.

6°) A propos des cadenas, je suis 100% d'acord avec lui "Do you honestly need to keep your love one in relationship by means of a lock and a key ?". Merveilleusement dit !

7°) Cette petite explication savoureuse "Amants are people who have sex together, amoureux are those who are (also) in love".

8°) Je n'avais jamais entendu parler du musée Arp à Clamart... Il est vrai que c'est en banlieue !

9°) La peintre impressionniste préférée de l'artiste est Berthe Morisot et alors là bien sûr je ne peux qu'appouver pour plein de raison... Famille oblige.

10°) Autre superbe formule, pour un parisien du Nord de Paris, aller dans le 16e arrondissement, "is something akin to crossing the Gobi Desert".

11°) L'auteur explique très bien le scandale des Savoyards de l'Hôtel Drouot (page 302/303). Un sujet que je connais bien puisque mon voisin de pallier en était un et qu'à cette époque il s'est éclipsé....

12°) Cette petite remarque très vraie "A restaurant that offers no linguistic help to foreigners can be the best place for foreigners to eat".

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Il faudrait que Stephen CLARKE fasse relire ses livres par des gens qui connaissent un peu l'Histoire de France. Affirmer que Philippe Egalité était le frère de Louis XVI est une perle d'une incroyable ignardise. (page 159). L'auteur confond le duc d'Orléans, frère de Louis XIV avec son descendant le duc d'Orléans qui était donc cousin (assez éloigné de Louis XVI). Les frères de Louis XVI c'étaient le comte de Provence (le futur Louis XVIII) et le comte d'Artois (le futur Charles X).

2°) page 51, Stephen Clarke en fait tout un plat à propos des "Bittes de trottoirs" qui empêchent les voitures de se gager. Certains Parisiens les appellent ainsi mais monsieur Clarke semble ne pas savoir qu'on les appelle des "plots"... C'est le mot que nous avons toujours utilisé dans mon conseil de quartier.

3°) Page 83, il affirme que la Coulée verte est un ancien tronçon de la petite Ceinture alors qu'il s'agit de l'ancien trajet du train qui reliait la Bastille à Saint-Maur (et donc rien à voir avec la petite ceinture).

4°) Page 131, Stephen CLARKE explique que le Palais des Tuileries est une autre victime de la Révolution française en faisant un lien avec la prise des Tuileries. Grave erreur puisque les Tuileries ont été détruites suite à leur incendie pendant la Commune en 1871 et que le Palais a été la résidence officielle de Napoléon Ier, Louis XVIII, Charles X et Napoléon III au XIXe siècle.


5°) Autre approximation "The end of the 19th century was the Belle époque" (page 140). Pas de bol. La Belle époque ce sont plutôt les années 1900 (de 1900 à 1910). Ce que les Britanniques appellent "The Edwardian Age" en référence au roi Edouard VII (1901-1910) et par contraste avec le Victorian Age (le règne Victoria de 1837 à 1901).

6°) Pour faire de l'humour l'auteur parle d'un "Boulevard Victoire du Peuple" et de jardins "Décaptiation de la famille royale". J'ai peur que certains lecteurs britanniques croient que telle est la réalité. Il n'y a que dans les villes communistes de la Proche banlieue que les rues de Paris ont été rebaptisées "rue de la Commune de Paris".

7°) Certaines remarques absurdes du genre ne pas confondre "cent deux" et "deux cents"  ben en anglais aussi il faut mieux éviter de confondre One hundred two et two hundred one non  ?? L'auteur fait pourtant une page d'exemples à ce sujet...

8°) Je viens de retrouver une erreur. Page 131 l'auteur affirme que Louis XVI a été guillotinné place la Concorde, "the square name after him". Erreur... encore un fois. avant la Révolution la place de la Concorde s'appelait place Louis XV, pas la place Louis XVI.

mercredi 30 juillet 2014

n°928 : Corpus Christi College


Corpus Christi College +++I (n° 16076)

Le 19 juillet 2014, j'ai visité Corpus Christi College à Cambridge.

Ce que j'ai aimé :

1°) Alors que Cambridge était envahi par des hordes de touristes (c'est souvent le cas le week-en en été), ce lieu était un havre de paix où on entendait que les convives du réfectoire (en ce jour de graduation day, l'ambiance était à la fête).

2°) Ce collège possède la plus ancienne cour de type médiéval.



3°) Ce collège est le seul de "Oxbridge" qui soit une fondation publique : il a été créé par la volonté des bourgeois de Cambridge.

4°) La chapelle du XIXe siècle n'a pas un grand intérêt mais j'ai beaucoup aimé la sculpture du pélican et de ses petits (un symbole du christianisme) qui tient la porte.




5°) Le gazon de la cour principale est une merveille (même si cela n'est pas rare en Angleterre, je ne m'en lasse pas).



Ce que j'ai moins aimé :

1°) Il n'était pas possible de visiter le réfectoire mais c'était pour une bonne raison : la célébration de graduation day.

mardi 29 juillet 2014

n° 927 : Norwich Castle


Norwich Castle +++ (n° 16 075)

Le 21 juillet 2014, j'ai visité le château de Norwich :

Ce que j'ai aimé :

1°) Ce château est situé en plein centre de la ville de Norwich. C'est un château de type normand construit vers 1160 avec un donjon d'une largeur impressionnante.

2°) L'architecture de ce château m'a beaucoup fait penser au Palais Normand de Palerme... que je connais fort bien.

3°) A l'intérieur du donjon, le volume que l'on découvre est vraiment superbe.

4°) Le château abrite un musée qui permet de mieux connaître l'histoire de l'Angleterre et du Norfolk en particulier.

5°) La librairie du musée est très sympa.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Au XIXe siècle, le château avait été intégré à un vaste établissement pénintencier et donc on a du mal à savoir ce qui est d'origine.

2°) Le musée propose une série de salles consacrées aux peintres de l'école de Norwich... Il faut aimer.


 

 

lundi 28 juillet 2014

n° 926 : The Etruscans

The Etruscans ++++ (n° 16 074)

Le 26 juillet 2014, j'ai fini de lire le livre de Christopher SMITH, The Etruscans, Collection "A very short introduction, Oxford University Press, 2014.

Ce que j'ai aimé :

1°) J'aime beaucoup cette collection qui ressemble à nos Que sais-je ? mais parfois il s'agit de simple réédition de livre ancien. Tel n'est pas le cas de ce volume puisque le livre a été publié cette année. Il est donc à la pointe du sujet.

2°) Les étrusques font partie de ces peuples de l'Antiquité qui sont mal connus et au-dessus desquels un soupçon de mystères domine alors que les travaux des historiens et des archéologues permettent d'avoir de nombreuses connaissances.

3°) Les Etrusques ont des origines qui restent mal connues mais contrairement à des récits mythologiques raconté à leur sujet il semble que ce peuple ait été un peu qui a vécu très tôt en Italie et dont la culture s'est peu à peu forgée sur place.

4°) Les étrusques avaient leur propre religion mais dès la fin de la 1ère moitié du 1er millénaire avant J.-C. leurs dieux étaient tombés "sous influence" grecque Aplu ==> Appolon / Uni ==> Hera

5°) Les grecs ne parlaient pas de "colonies" à propos des cités créées hors de Grèce. Ils parlaient de apoikiai (les maisons lointaines).

6°) Le premier historien romain qui a écrit une histoire des Etrusques est Fabius Pictor au IIe siècle avant J.-C. mais cet ouvrage a presque complètement disparu.

7°) La culture étrusque a peu à peu disparu avec la conquête romaine qui a eu lieu au IIIe siècle avant J.-C. cependant encore au IVe siècle après J.-C. l'empereur Julien a fait édifier un portique en l'honneur des 12 Dieux étrusques.

8°) Les combats de gladiateurs étaient une pratique étrusque adoptée pour la 1ère fois par les Romains en 264 avant J.-C. (après une victoire sur les Etrusques).

9°) En fin d'ouvrage, la bibliographie commentée est remarquable.



dimanche 27 juillet 2014

n° 925 : Boyhood


Boyhood +++I (n° 16 073)

Le 21 juillet à Norwich, je suis allé voir le film Boyhood.

Ce que j'ai aimé :

1°) C'est un film original puisqu'il nous permet de suivre un garçon pendant 12 ans, des débuts de l'école primaire à l'entrée à l'université. Les mêmes acteurs ont joué leur rôle tout en vieillissant.

2°) Le garçon qui au tout début n'a pas l'air sûr de lui prend peu à peu de l'assurance pour pouvoir voler de ses propres ailes malgré des adultes qui ont un parcours compliqué (mariages, divorces, déménagements) un peu sinueux.

3°) Ce film ressemble à une saga familial qui me rappelle les romans d'Isabel Allende.

4°) Le film ne cède pas à la facilité en donnant une image d'un père inconsistant et ado attardé. Le père prend peu à peu toute sa place de père.

5°) Ellar Coltrane qui a été choisi pour incarner le personnage principal est un jeune homme attachant alors qu'il n'a pas encore 20 ans (il les aura fin août 2014).

6°) C'est un film qui se passe intégralement au Texas dans des milieux variés.

7°) Le film évoque les campagnes de Barrack Obama de 2008 et 2012. C'est assez amusant (avec notamment des scènes de la campagne de terrain du père en faveur des démocrates).

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Le film est un peu long. Une fois que l'ado a obtenu son bac je trouve que ça dure un peu trop.

2°) C'est un film qui peut donner le blues à certains en rappelant combien le temps passe vite.

mardi 22 juillet 2014

n° 924 : Nineteenth Century Britain

 
 
Nineteenth Century Britain +++ (n° 16 069)
 
 
Le 20 juillet 2014, j'ai fini de lire le livre de Christopher HARVIE et H.C. G MATTHEW, Nineteenth-Century Britain, A Very Short Introduction, Oxford, 2000 (1ère édition Oxford Illustrated History of Britain 1984),
 
Ce que j'ai aimé :
 
1°) C'est -comme souvent dans cette collection- un très bon moyen de survoler un sujet : ici la Grande Bretagne entre 1800 et les premières années du XXe siècle.
 
2°) Au début du chapitre 1, les auteurs rappellent fort justement que c'est l'historien Arnold TOYNBEE qui en 1881 a utilisé pour ses cours l'expression "Industrial Revolution".
 
3°) Dès 1801, 21% de la population britannique vivait dans des villes de plus de 10 000 habitants ce qui est beaucoup plus que dans aucun autre pays d'Europe du Nord. En 1901, 80% de la population britannique était urbanisée c'est beaucoup plus que n'importe quel pays d'Europe.
 
4°) En 1745, il fallait 15 jours pour aller de Londres à Edimbourg. Il ne fallait plus que 36h en 1830.
 
5°) Les romans conseillés dans ce livre : George ELIOT, Felix Holt (1867) (à propos des dissenters religieux en 1832) / Charles DICKENS, Pickwick Papers, à propos de la corruption électorale à Etanswill / Thomas HARDY, The mayor of Casterbridge (à propos de la crise rurale de la fin du XIXe siècle /
 
6°) La France a déclaré la guerre à la Grande-Bretagne le 1er avril 1793.
 
7°) Le bilan de l'Europe en 1815 : "Although Britain was victorious, the war's imprint on Europe was predominantly French".
 
8°) Les 6 points du mouvement chartiste : Manhood suffrage, the ballot, equal electoral districts, abolition of properly qualifications for MPs, payment for MPs, and annual Parliaments.
 
9°) Une date clé : 1846 : le gouvernement Peel abolit les Corn laws.
 
10°) En 1834, Wellington est le dernier Duc à avoir été nommé 1er ministre.
 
11°) Le traité de Londres de 1839 garantissait la neutralité belge. C'est ce traité que l'Empire allemand a violé en août 1914.
 
12°) La Grande-Bretagne  connu un boom économique qui a duré du début des années 1850 jusqu'au début des années 1870.
 
13°) L'agriculture britannique s'est effondrée entre les années 1870 et 1900. En 1901, elle ne représentait plus que 6,4% du PIB.
 
 14°) En Ecosse, en raison de l'immigration irlandaise, la religion catholique s'est à nouveau répandue. eg : les clubs de foot de Glasgow : le Celtic Glasgow (Catholiques) / Les Glasgow Rangers  (Protestant) idem à Liverpool : Everton (catholiques) Merseyside (Protestants).
 
15°) En Grande-Bretagne la coupe existe depuis 1871 et la Ligue depuis 1888.
 
16°) En 1911, le déficit commercial abyssal (134 millions de £) était compensé par les revenus des services faits à l'étranger (152 millions de £) et par les dividendes à l'étranger (188 millions de £ en 1911).
 
17°) Jusqu'en 1880, l'école n'était pas obligatoire et elle était payante jusqu'en 1891.
 
18°) Le vote secret a été mis en place en 1872 (avant cela, il était public et affiché).
 
19°) Le leader nationaliste irlandais Charles Stewart Parnell était protestant.
 
 
Ce que j'ai moins aimé :
 
1°) L'ouvrage est un peu ancien (il date de 1984). Du coup, la bibliographie est un peu ancienne.
 


dimanche 20 juillet 2014

n° 923 : Exposition Mapplethorpe au Grand Palais


Exposition Robert Mappelthorpe au Grand Palais +++ (n°16 063)

Le 9 juillet 2014, je suis allé voir l'exposition Robert Mapplethorpe au Grand Palais.

Ce que j'ai aimé :

1°) Robert Mapplethorpe (1946-1989) est indéniablement un photographe américain de grand talent. Ces photos de nus et ces portraits ont une forme inspirée de l'Antiquité classique. Certains nus sont vraiment superbes.

2°) Robert Mapplethorpe a fait tout un travail sur la comparaison entre les corps et les fleurs. C'est assez sublime. Je pense notamment à un très beau paravent.

3°) Robert Mapplethorpe était devenu à partir des années 1970 un photographe très à la mode. Il a fait les portraits de nombreux artistes de cette époque.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Certains thèmes ont un côté compulsif qui finissent par être un peu obsessionnel, par exemple les photos d'hommes en érection ou ayant des pratiques Sado-Maso (dans une salle qui est interdite aux moins de 18 ans).

2°) Robert Mapplethorpe, malade du SIDA, a eu aussi une fin d'œuvre très marquée par son éducation catholique. Là aussi, cela devient un peu excessif.

3°) L'exposition présente une vidéo de Patti Smith faite par Robert Mapplethorpe qui était son ami. Cette vidéo montre une femme aux propos décousus et qui fait l'éloge du satanisme le tout imbibé de drogue. Je n'ai pas trop apprécié cette œuvre !

vendredi 18 juillet 2014

n°922 : Romeo et Juliette par The Lord Chamberlain's men

Roméo et Juliette par la troupe The Lord Chamberlains men ++++ (n°16 059)

Le 15 juillet 2014, je suis allé voir Roméo et Juliette interprété par The Lord Chamberlain's men dans le cloître de la cathédrale de Norwich.

Ce que j'ai adoré :

1°) Le lieu est magique : le cloître de la cathédrale de Norwich, un magnifique ensemble gothique, qui était éclairé par une très belle lumière.

2°) Je crois que je n'avais jamais vu en intégralité la pièce de Shakespeare Romeo et Juliette. J'ai ainsi eu tout le plaisir de retrouver les péripéties dramatiques de l'amour entre Juliette (de la famille Capulet) et Romeo (de la famille Montague).

3°) La pièce est interprétée par une troupe qui pratique le "retour aux sources" : comme à l'époque de Shakespeare, l'ensemble des rôles sont interprétés par des rôles. Comme la mise en scène est aussi très picaresque cela rend à l'intrigue son aspect original.

4°) La troupe est composée par 7 acteurs qui interprètent merveilleusement leur rôle. Non seulement ils sont convaincaints mais ils mettent une énergie incroyable dans la représentation et cela avec une incroyable facilité. Je tiens à citer chacun d'eux : Jonathan Bullock (qui joue notamment Juliette), Will Haddington (qui joue notamment Roméo), David O'Connor (qui est génial dans le rôle de la servante de Juliette), John Sandeman (qui interprète notamment Mercutio), Nicholas Limm (qui interprète notamment Lady Capulet), James Beedham (qui interprète notamment Frère Laurent), Will Richards (qui interprète notamment Paris).


5°) Une mention spéciale pour les trois acteurs qui interprètent des rôles féminins : Jonathan Bullock, Nicholas Limm et David O'Connor. Ils font cela avec un énorme talent alors que cela ne doit pas être évident.

6°) Au début de la pièce et après l'entracte, les 7 acteurs ont interprété un chant. Là aussi, c'était très réussi.

7°) La pièce était bien sûr interprétée en anglais et même si j'ai eu du mal à suivre certains passages, la mise en scène m'a aidé à ne jamais décrocher et à suivre de bout en bout les rebondissements de cette histoire.

8°) Cette représentation avait lieu dans le cadre du festival Shakespeare. Il est possible de manger un repas sur place juste avant la représentation.


J'ai tenu à publier des photographies qui ne montrent pas seulement Roméo et Juliette mais l'ensemble de cette superbe troupe

De gauche à droite John Sandeman (Capulet père de Julette), Will Richards (Tybalt), Will haddington (Lady Capuet) et David O'Connor (La servante de Julette)

 
 De Gauche à droite : Will Haddington (Roméo), David O'Connor (la servante de Juliette), James Beedham (Benvoglio) et John Sandeman (Mercutio)

 De gauche à droite : Will Richards (Paris), Jonathan Bullock (Juliette) et James Beedham (Frère Laurent)

 Jonathan Bullock (Juliette)

Will Haddington (Roméo)

Voici le site où l'on peut suivre cette troupe et retrouver la date des prochaines représentations :
http://www.tlcm.co.uk/