"Deviens ami de toi-même, et tu pourras vivre tout seul"
Balthasar Graciàn,El Criticon, 1647, édition française, L'art de la prudence, Rivages poche N°116, 1994, pages 116-117, extrait de la pensée 137.
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"Deviens ami de toi-même, et tu pourras vivre tout seul"
Balthasar Graciàn,El Criticon, 1647, édition française, L'art de la prudence, Rivages poche N°116, 1994, pages 116-117, extrait de la pensée 137.
La terrasse de Saint-Germain-en-Laye +++I (N°13372)
Vendredi 23 février 2007, nous sommes allés nous ballader à Saint-Germain-en-Laye à la terrasse et dans la forêt.
Ce que j'ai aimé :
1°) Il est toujours aussi agréable de faire cette promenade en ce lieu qui surplombe toute la vallée de la Seine en direction de Paris.
2°) Cela fait du bien de pouvoir profiter de la végétation et de l'air frais à 30 mn de Paris.
3°) La terrasse est vraiment une très belle réalisation de Le Nôtre. Une longue ligne droite de plus de 2Km de long.
4°) J'ai retrouvé avec plaisir le jardin anglais où j'allais lire quand j'étais plus jeune.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) La forêt reste très abîmé par la tempête de décembre 1999. Il y a de vastes trouées sans arbre.
2°) De plus, comme c'est l'hiver, j'ai regretté la période où les arbres ont leurs feuilles.
3°) Le vaste bassin situé en direction de la piscine dans l'axe de l'ancien Pont Levis reste une vaste étendue boueuse. Quel dommage !
"L'homme naît barbare, il ne se rachète de la condition des bêtes que par sa culture ; plus il est cultivé, plus il devient homme".
Balthasar Graciàn,El Criticon, 1647, édition française, L'art de la prudence, Rivages poche N°116, 1994, page 85, extrait de la pensée 87.
"Une prospérité continue a toujours été suspecte, celle qui est entremêlée (de revers) est plus sûre ; un peu d'aigre-doux la fait trouver meilleure".
Balthasar Graciàn,El Criticon, 1647, édition française, L'art de la prudence, Rivages poche N°116, 1994, page 55, extrait de la pensée 38.
Piscine Jean Taris (Paris Ve) +++ (N°13370)
Hier, vendredi 2 mars 2007, j'ai eu la surprise de découvrir que la piscine Saint-Merry était fermé pour raison de vidange (sans aucune information préalable la semaine précédente...). J'ai donc traversé la Seine et comme la piscine de la rue de Pontoise n'ouvrait qu'à11h, je suis allé jusqu'à la piscine Jean Taris près du Panthéon dans le 5e arrondissement.
Ce que j'ai aimé :
1°) Cette piscine n'est pas très loin de chez moi, environ 20 mn à pied.
2°) La piscine est un lieu très agréable : elle donne sur une grande baie vitrée latérale. Hier, avec l'éclaircie qu'il y avait c'était formidable.
3°) Cette piscine a longtemps été fermée pendant presqu'un an. J'ai eu du plaisir à la retrouver.
4°) Il n'y avait presque personne. C'est génial de pouvoir nager pendant les vacances à 10h du matin.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Les travaux ont permis de rénover les vestiaires mais je ne trouve pas pratique le maintien du système avec des bracelets. En plus il ne faut pas oublier d'apporter une pièce d'un euro.
2°) Les toilettes sont restées à un niveau indigent : seulement deux et ils sont aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
"Connaître son défaut dominant. Chacun en a un, qui fait contrepoids à sa perfection dominante ; et si l'inclination le seconde, il domine en tyran".
Balthasar Graciàn,El Criticon, 1647, édition française, L'art de la prudence, Rivages poche N°116, 1994, page 175, extrait de la pensée 225.
Musée archéologique de Strasbourg - (N°13369)
Vendredi 16 février 2007, je suis allé au musée d'archéologie de Strasbourg situé dans le palais Rohan, l'ancien archevêché.
Ce que je n'ai pas aimé :
1°) C'est un musée poussiéreux et désuet avec des présentations qui remontent à plus de 30 ans.
2°) Les conservateurs ne font même pas l'effort d'entretenir les cartels dont certains sont en partie manquants ou correspondent à des objets qui ont été déplacés.
3°) Il y avait une petite expo : "archéopub". Elle était consacrée à l'utlisation de l'archéologie dans la pub. Cela aurait pu être intéressant mais finalement cela conduit à se retrouver à voir des petites statuettes en plastique d'Astérix au beau milieu d'une vitrine montrant des objets préhistoriques. je ne vois pas l'intérêt.
"C'est une marque de mauvaise réputation de prendre plaisir à flétrir celle d'autrui"
Balthasar Graciàn,El Criticon, 1647, édition française, L'art de la prudence, Rivages poche N°116, 1994, page 109, extrait de la pensée 125.
Missions spéciales +++ (N°13368)
Hier, mercredi 28 février 2007, j'ai fini de lire le livre de Boris AKOUNINE, Missions spciales, collection 10/18 N°3712, 2004, traduit du russe Par Odette CHEVALOT (1ère moitié du livre) et Paul LEQUESNE (2e moitié). Edition en russe, 1999.
Ce que j'a aimé :
1°) On retrouve avec plaisir l'agent Eraste pétrovitch Fandorine désormais bien installé dans son personnage de fin limier de la police moscovite. C'est le 5e volume que je lis.On se retrouve ici dans la 2e moitié des années 1880. L'agent est toujours un séduisant agent, atteint d'un léger bégaiement et assisté depuis le volume 3 par son domestique japonais Massa rencontré parmi les suspects des aventures du tome 3 : le Léviathan.
2°) la 1ère aventure, le valet de Pique nous fait rencontré un nouvel assistant fort attachant, Anissi Tioulpanov, un agent aux origines les plus modestes qui soient. Il apprend fort bien à se débrouiller.
3°) La 2e aventure nous replonge dans les horreurs commises à Londres par Jack l'éventreur en 1888 avec une suite romanesque inattendue de l'histoire à Moscou.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Le personnage caméléon, insaisissable de la 1ère aventure, le "valet de Pique", rappelle un peu trop le héros du tome précédent : Achille. Certes, il faut à Fandorine des escrocs à sa mesure mais là c'est un peu trop le même genre d'histoire.
2°) La 2e histoire est plus originale. Le paradoxe est que j'ai pris moins de plaisir à la lire car les histoires de maniaques détraqués éventrant ses victimes ne sont pas des plus reposantes. En plus, un personnage fort attachant disparaït à la fin de cette aventure.