J'ai aimé..., J'ai pas aimé... Lecture, cinéma, théâtre, expositions, visites, voyages,...
Un bloc notes créé en janvier 2006 à vocation d'abord personnelle. Si cela en intéresse d'autres tant mieux sinon... tant pis !
vendredi 30 avril 2010
n° 617 : The Return of Sherlock Holmes
The Return of Sherlock Holmes - (N°14 526)
Le 28 avril 2010, j'ai enfin fini la lecture du livre d'Arthur CONAN DOYLE, The Return of Sherlock Holmes, Wordsworth Classics, 1995, réédition 2000, édition originale, 1905.
Ce que j'ai aimé :
1°) La nouvelle 7 est intéressante puisqu'on voit Holmes et Watson se comporter comme des cambrioleurs de grand chemin.
2°) La couverture est bien jolie !
3°) Je n'ai pas payé ce livre très cher puisque je l'avais acheté pour 1£99 dans un magasin de livres pas cher de Notting Hill à Londres.
Ce que je n'ai pas aimé :
1°) L'ouvrage est terriblement long et certaines des nouvelles sont absolument insipides. Conan Doyle a peut-être ici le receuil de trop puisque pour l'écrire il a dû "rescuciter" Holmes qui finalement n'est pas mort suite à sa rencontre avec le professeur Moriarty.
2°) Dans la dernière nouvelle, on tombe dans le n'importe quoi puisque le 1er ministre anglais et le ministre des affaires étrangères en personne sont tout deux en personne dans le cabinet de Holmes !
3°) Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas autant ennuyé en lisant un livre... J'avais un peu mieux aimé l'ouvrage "The Memoirs of Sherlock Holmes" (voir mon article du 9 avril 2009)
jeudi 29 avril 2010
n° 616 : L'escurial
L'Escurial +++I (N°14 523)
Le dimanche 25 avril 2010, j'ai visité l'Escorial (appelé l'EscOrial en espagnol).
Ce que j'ai aimé :
1°) J'avais visité ce palais-monastère quand j'avais 13 ans au printemps 1984 lors d'un voyage scolaire. j'ai donc retrouvé ce lieu avec une petite émotion.
2°) Ce palais monastère construit dans la 2e moitié du XVIe siècle est impressionnant par ce qu'il nous montre de la personnalité de son constructeur : Philippe II... ça ne devait pas être un drôle !
3°) On retrouve les lieux dans un état proche de celui du XVIe siècle. La chambre de Philippe II est très émouvante.
4°) Les lignes extérieures du palais sont superbes par leur austérité.
5°) les jardins autour du palais offrent une très belle vue sur la campagne et la montagne environnantes.
6°) Dans la crypte de la Basilique, on trouve le "panthéon" royal. Depuis le XVIe siècle, tous les rois d'Espagne (sauf trois d'entre eux) ont été enterré en ce lieu. La place de Juan Carlos est déjà prête !
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Il semble difficile de pouvoir accéder aux salles aménagées par les Bourbons au XVIIIe siècle... Ils ont certainement voulu donner un peu plus de chaleur à ce lieu.
2°) Le train entre Madrid et l'Escorial n'est pas vraiment rapide. Entre Atocha et l'Escorial, il faut plus de 1h pour faire environ 60 Km... Heureusement, il y a un train toutes les heures !
mardi 13 avril 2010
n° 615 : A History of Denmark
A History of Denmark +++ (N°14 507)
Le 12 avril 2010, j'ai fini de lire le livre de Knud J.V. JESPERSEN, A History of Denmark, Palgrave Mac Millan, 2004
Ce que j'ai aimé :
1°) C'est un livre qui nous apprend tout sur l'histoire fort mal connu d'un pays d'Europe le Danemark.
2°) D'un point de vue international, l'histoire du Danemark est l'histoire d'une longue déchéance : la fin de l'Union avec la Suède au début du XVIe siècle, la perte de la Scanie au profit de la Suède en 1660 (le bord de mer située à l'Est du Danemark), la perte en 1814-1815 de la Norvège au profit de la Suède, la perte du Schleswig Holstein suite à la guerre contre la Prusse en 1864. Finalement, ce n'est qu'en 1920 que le Danemark a réussi à récupérer un petit territoire au sud du Jutland.
3°) Christian III ((1534-1559) est le roi important pour le passage dans le camp luthérien du Danemark. C'est le Henri VIII danois.
4°) Au XVIIe siècle, le Danemark a connu une histoire politique assez proche de la France. Au début de son règne Frédéric III (1648-1670) a été obligé de convoquer des Etats généraux et de leur concéder beaucoup de pouvoirs (1649) à l'époque où la France connaissait la France. Cependant en octobre 1660, il a fait un mini coup d'Etat pour mettre en place une monarchie absolue et mettre complètement à l'écart la noblesse. (Un an donc avec le début du règne personnel de Louis XIV). Par une loi de 1665, il a fait de la couronne danoise, une couronne héréditaire alors que jusque là elle était élective.
5°) Le Danemark a eu son roi fou : Christian VII (1766-1808). C'est pendant son règne que le Danemark a connu le désastre de 1807 : Copenhague a été bombardé par la flotte anglaise et tous les bateaux de guerre et de commerce danois ont été confisqués. Le Danemark est peut-être le plus grand perdant des guerres napoléoniennes. Il a en plus perdu un territoire possédé depuis des siècles : la Norvège.
6°) Frédéric VII (1848-1863) est le roi qui a accepté le passage à la monarchie constitutionnelle (la constitution date de 1849) suite à une révolution tranquille en 1848. La constitution de 1849 a mis en place le suffrage universel masculin. Les femmes ont obtenu le droit de vote en 1915.
7°) Mis à part la partie allemande de 1864 à 1920, dans le territoire danois ce sont encore aujourd'hui les églises luthériennes qui sont chargées de l'état civil. (page 89).
8°) C'est en 1814 qu'une loi a rendu l'enseignement primaire obligatoire.
9°) Nicolai Frederik Severin GRUNDTVIG est le grand homme danois. Pas moins de 10 pages lui sont consacrées. Né en 1783, il est le père de l'enseignement populaire et de l'importance de l'idée de peuple au Danemark. En Danois "folketig" (populaire) est un adjectif qui est positif.
10°) C'est le Congrès américain qui a exigé en 1856 la suppression des droits de passage prélevé depuis des siècles par le Danemark au niveau du Sound. Ces droits ont complètement disparu en 1857.
11°) En avril 1940, l'armée danoise n'a opposé aucune résistance à l'invasion allemande. Officiellement, le Danemark est resté un Etat libre.
12°) La danoise Nina Bang est la première femme au monde a être devenue ministre (en 1924).
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Je ne sais pas pourquoi mon livre était paginé à l'envers... Très étonnant à la lecture.
2°) Certains chapitres (par exemple les deux consacrés à l'évolution économique et sociale) sont un peu barbant.
3°) Je n'ai pas été convaincu par le plan thématique : politique internationale, politique intérieure, religion, société,... Cela conduit à des redites et cela rend complexe la compréhension de certains événements.
dimanche 4 avril 2010
n° 614 : La passion selon Saint-Jean
La passion selon Saint-Jean ++++ (N°14 498)
Le 3 avril 2010 à la pleyel, je suis allé écouter La passion selon Saint-Jean de Jean-Sébastien Bach interpété par les musiciens du Louvre-Grenoble dirigé par Marc MINKOWSKI.
Ce que j'ai aimé :
1°) En ce week-end de Pâques, c'est avec un très grand plaisir que j'ai entendu la Passion selon Saint-Jean mise en musique par Bach au XVIIIe siècle. A l'époque l'oeuvre se jouait le jour du Vendredi Saint dans une église de Leipzig. Voilà une bonne manière de renouer avec la tradition et de réentendre les Evangiles.
2°) Les musiciens du Louvre-Grenoble dirigés par MINKOWSKI sont vraiment formidables. Je les avais entendus il y a peu de temps pour l'opéra Platée donnée à Garnier récemment.
3°) Les 8 chanteurs (Joann Lunn [soprano], Judith Gauthier [soprano], Helena Rasker [alto], Owen Willetts [alto], Markus Brutscher [ténor], Nicholas Mulroy [ténor], Christian Immler [basse], Benoît Arnoult [basse]) qui interprétaient l'oeuvre étaient vraiment parfaits. J'ai particulièrement apprécié l'alto Owen WILLETS.
4°) Il était très intéressant d'avoir la traduction en français de l'oeuvre interprétée en allemand... Cela me permet de faire de petits progrès dans cette langue que je connais fort mal.
Ce que j'ai moins aimé :
RAS !
Le 3 avril 2010 à la pleyel, je suis allé écouter La passion selon Saint-Jean de Jean-Sébastien Bach interpété par les musiciens du Louvre-Grenoble dirigé par Marc MINKOWSKI.
Ce que j'ai aimé :
1°) En ce week-end de Pâques, c'est avec un très grand plaisir que j'ai entendu la Passion selon Saint-Jean mise en musique par Bach au XVIIIe siècle. A l'époque l'oeuvre se jouait le jour du Vendredi Saint dans une église de Leipzig. Voilà une bonne manière de renouer avec la tradition et de réentendre les Evangiles.
2°) Les musiciens du Louvre-Grenoble dirigés par MINKOWSKI sont vraiment formidables. Je les avais entendus il y a peu de temps pour l'opéra Platée donnée à Garnier récemment.
3°) Les 8 chanteurs (Joann Lunn [soprano], Judith Gauthier [soprano], Helena Rasker [alto], Owen Willetts [alto], Markus Brutscher [ténor], Nicholas Mulroy [ténor], Christian Immler [basse], Benoît Arnoult [basse]) qui interprétaient l'oeuvre étaient vraiment parfaits. J'ai particulièrement apprécié l'alto Owen WILLETS.
4°) Il était très intéressant d'avoir la traduction en français de l'oeuvre interprétée en allemand... Cela me permet de faire de petits progrès dans cette langue que je connais fort mal.
Ce que j'ai moins aimé :
RAS !
Inscription à :
Articles (Atom)