Un bloc notes créé en janvier 2006 à vocation d'abord personnelle. Si cela en intéresse d'autres tant mieux sinon... tant pis !

jeudi 26 avril 2018

n° 1154 : Exposition : Tintoret, la naissance d'un génie au Musée du Luxembourg

Le Tintoret, Autoportrait, Philadelphie, Museum of Art, vers 1547

Tintoret, la naissance d'un génie ++ (n° 17443)

Le 26 avril 2018, je suis allé voir l'exposition "Tintoret la naissance d'un génie" au Musée du Luxembourg.

Ce que j'ai aimé :

1°) L'exposition présente de superbes portraits du peintre vénitien Le Tintoret, notamment en ouverture le magnifique auto-portrait peint vers 1547 et conservé à Philadelphie au Museum of Art (où j'étais il y a tout juste un an en avril 2017 [Voir mon article du 25 avril 2017] ). J'ai aussi particulièrement apprécié un portrait d'homme, Lorenzo Sorenzo ?, peint en 1547 et conservé au musée de Nantes.

2°) L'exposition présente aussi une belle variété de tableaux représentant des scènes bibliques ou de la mythologie (qui montrent la prégnance de l'esprit de la Renaissance).

3°) Cette exposition permet de voir des tableaux qui viennent d'un très grand nombre de musées d'Europe et des États-Unis. 

Ce que j'ai moins aimé :

1°) L'exposition présente un nombre non négligeable d’œuvres "de Tintoret et atelier" qui sont souvent de beaucoup moins bonne facture. Il est vrai que cela rend hommage au Tintoret puisqu'on voit nettement la différence avec les œuvres qui sont de la main même du Tintoret.

2°) Une mention spéciale pour le gardien qui hurle sur les visiteurs qui prennent en photo les deux seules oeuvres qui interdisent de prendre des photographies alors que le logo interdisant de prendre des photographies apparaît en minuscule sous le cartel. Ce système est absurde et désagréable.

 Le Tintoret, Portrait d'homme, 1547, Nantes, Musée des Beaux Arts

Le Tintoret, La conversion de Saint Paul, 1538-1539, Washington, National Gallery

Le Tintoret, Judith et Holopherne, vers 1554-1555, Madrid, Musée du Prado

Le Tintoret, La mort d'Adonis, vers 1550-1555, Paris, Musée du Louvre

Le Tintoret, Esther devant Assuerus, vers 1554-1555, Madrid, Musée du Prado


mardi 24 avril 2018

n° 1153 : Sapiens, A Brief History of Humankind

Sapiens a Brief history of Humankind +++I (n° 17 441)

Le 23 avril 2018, j'ai fini de lire le livre de Yuval Noah HARIRI, Sapiens, A Brief History of Humankind, Vintage 2014, 1ère édition, 2014.

Ce que j'ai aimé :

1°) C'est un survol très clair et très concis des connaissances actuelles relatives à la Préhistoire et notamment l'émergence de l'Homo Sapiens avec une grande question... Quel sens donné à cette évolution ?

2°) On apprend des données factuelles très intéressantes : par exemple, notre cerveau consomme 25% de notre énergie (alors que pour les singes c'est seulement 2 à 3%).

3°) Il est intéressant de noter que le cerveau de l'Homme de Néandertal était encore plus gros que celui de l'Homo Sapiens. Les dernières recherches montrent que l'Homo Sapiens apparu en Afrique vers 100 000 ans avant J.-C. s'est répandu via le Proche Orient en Eurasie vers 70 000 avant J.-C. Aujourd'hui dans la population eurasienne, 1 à 4% de l'ADN provient des hommes de Néandertal.

4°) L'invention décisive a été la maitrise du feu qui permet de cuisiner des aliments inmangeables autrement comme le blé, le riz, les pommes de  terre. La maîtrise du feu date de 800 000. mais l'usage régulier du feu ne date que de 300 000 ans (à l'époque de l'Homo Erectus).

5°) "Tolerance is not a Sapiens trademark"  (page 19) : Il y a de fortes chances que l'Homo Sapiens ait éliminé l'Homme de Néandertal qui a disparu il y a 30 000 ans. De même l'Homme des îles Flores (dans le Sud Est de l'Asie qui était issu de l'Homo Erectus) a disparu il y a 12 000 ans.

6°) L'auteur décrit de manière très détaillée la catastrophe écologique à laquelle a conduit l'arrivée des premiers  hommes en Australie il y a 45 000 ans. Un grand nombre d'espèces ont disparu en très peu de temps.

7°) L'auteur évoque une "révolution cognitive" qui aurait eu lieu vers 70 000 avant J.-C. Les premiers villages apparaissent en Indonésie vers 45 000. C'est l'époque où l'homme devient chasseur, pêcheur, cueilleur. Ce que l'auteur appelle "The age of foraging".  L'Homo Sapiens prend grâce au langage et à la communication le dessus sur tous les autres prédateurs. Il ne souffre plus de malnutrition et se déplace en fonction des besoins. A cette époque, 5 à 8% de la population vit au delà de l'âge de 60 ans. Pour l'auteur c'est un espèce d'âge d'or primitif dans lequel régnait l'abondance, C'est l'époque où les humains se mettent à parler aux esprits. On ne sait pas par contre si c'était une époque particulièrement pacifique ou violente. Mais par contre c'est une époque aussi où de nombreuses espèces animales disparaissent en raison justement de l'activité humaine : par exemple : le Mamouth.

8°) L'ouvrage est très intéressant concernant la révolution agricole qui a commencé vers 9500 à 8500 avant J.-C. : il pose la question de savoir en quoi cela a pu conduire à d'importants inconvénients  comme par exemple le fait que la concentration d'humains au même endroit conduit à des épidémies. De plus le travail devient de plus en plus harassant. Les êtres humains deviennent dépendants de quelques ressources uniquement (donc plus susceptibles de subir des familles) et qui sont certainement moins riches en protéines. L'auteur a donc cette phrase "The Agricultural Revolution was history's biggest fraud".)

9°) Il y a un passage passionnant page 99 où l'auteur pose le sens du progrès concernant les moyens de communication : le fait que nous recevions des monceaux de mails ou de SMS nous rend encore plus dépendant alors que par le passé nous ne recevions que quelques lettres et nous prenions le temps de répondre correctement.

10°) Pour les animaux domestiqués par l'humanité, cela a conduit à une explosion de leur nombre sur terre mais ils vivent dans des conditions affreuses.

11°) Vers 10 000 avant J.-C. il y avait environ 5 à 8 millions d'humains sur Terre.  Au 1er siècle après J.-C. il y avait environ 250 millions d'humains qui étaient presque tous des agriculteurs (ou vivant dans des sociétés agricoles) alors qu'il n'y avait plus que 1 à 2 millions de chasseurs-cueilleurs nomades.

12°) La surface de la Terre fait 510 millions de Km² mais l'espace hors des eaux ne fait que 155 millions. Or, sur cet espace jusque vers 1400, l'Humanité se concentrait sur seulement 11 millions de Km² (soit 2% de la surface de la Terre).

13°) L'auteur explique très bien combien l'unification du genre humain est très récente. Celui-ci a été unifié par l'argent (et le commerce), la religion,

14°) Il y a un passage passionnant sur les empires et l'émergence des premiers empires il y a environ 2500 ans.

15°) La Révolution scientifique a eu lieu vers 1500. Elle repose sur l'idée que désormais, le savoir repose sur l'idée qu'on ne sait pas et qu'il faut essayer de trouver des réponses avec l'idée que rien n'est jamais sûr. Entre 1500 la population et le début des années 2010, la population a été multipliée 14 fois (de 500 millions à 7 milliards) mais la production a été multipliée par 240 et la consommation d'énergie par 115.

16°) En 1775, l'Asie représentait 80% de l'économie mondiale (la Chine et l'Inde les 2/3 !).

17°) C'est le cartographe Martin Waldseemüller  qui en 1507 a mentionné pour la 1ère fois l'Amérique sur une carte.

18°) Je n'avais jamais entendu parler de Fritz Haber, un juif allemand, a découvert un moyen de produire de l'explosif à partir d’ammoniaque en 1908... Ce qui a a permis à l'Empire allemand de faire perdurer la 1ère Guerre mondiale alors qu'il n'avait plus accès aux gisements de salpêtres jusque-là indispensables dont les principales réserves étaient en Inde et au Chili.

19°) Pendand le XXe siècle, la population humaine a été multipliée par 4 passant de 900 000 millions à 6 milliards.

20°) L'auteur va jusqu'à affirmer que le prix nobel de la paix aurait dû etre décerné à Oppenheimer : la mise au point de la bombe atomique a évité de nombreuses guerres.

21°) A la fin de l'ouvrage, l'auteur pose la question de savoir si le bonheur humain a augmenté. Il semble que celui-ci soit en grande partie basée sur l'appartenance à une communauté, un groupe or ceux-ci (surtout la famille) se sont distendus. Cela pose aussi des questions sur le sens de la vie.

22°) L'auteur pose la question du sens de l'évolution. Il pose la question d'un éventuel accès à la vie éternelle ou à une vie bionique (je n'avais jamais envisagé par exemple les smartphones comme un prolongement de notre cerveau).

23°) Pour Harari, l'humain est devenu un dieu : il peut créer ou faire disparaître des espèces avec un pas décisif concernant les manipulations génétiques, il a la capacité de détruire la vie avec le problème qu'il ne sait pas trop ce qu'il eut. La conclusion lucide est un peu sombre "Is there anything more dangerous than dissatisfied and irresponsible gods who don't know what they want".

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Il y a des digressions et des points de vue personnels de l'auteur qui ponctue de manière excessive la trame de cette Histoire et c'est parfois pénible.







dimanche 22 avril 2018

n° 1152 : Museum and Art Gallery de Bristol


Museum and Art Gallery de Bristol +++ (n° 17 439)

Le 22 février 2018, j'ai visité (je l'avais déjà visité il y a une dizaine d'années), le musée et la galerie d'art de Bristol (dans l'Ouest de l'Angleterre).

Ce que j'ai aimé :

1°) Ce musée possède une intéressante galerie de peintures avec notamment des Eugène Boudin, des Corneille de Lyon, une très belle nature morte de Pieter Claesz.

2°) La galerie de peintures est aussi intéressante pour les peintres anglais comme Gainsborough et Constable.

3°) Le musée possède un très intéressant département consacré aux porcelaines chinoises avec une collection vraiment très variée et très belle.

4°) Les espaces sont superbes, notamment le hall principal avec un engin des débuts de l'aviation.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Il y a une salle entière de peintres du XIXe siècle avec de nombreux peintres de l'école préraphaélite et je ne suis pas un grand fan.

2°) Le musée a aussi un petit département d'histoire naturelle avec des animaux empaillés. Je ne suis pas non plus très fan.


Le grand hall principal

Un squelette de dinosaure

Une vitrine du département d'Histoire naturelle

 Le département d'art chinois (avec surtout des porcelaines)

Corneille de Lyon, portrait d'homme, vers 1540

Pieter Claesz. , Nature morte, vers 1640

Gainsborough, Ann Leybourne Leybourne, vers 1763

John Constable, Malvern Hall depuis le Sud-Ouest, 1809

Eugène Boudin, paysage portuaire, 1873

Eugène Boudin, Nature morte avec huîtres, vers 1850





jeudi 19 avril 2018

n° 1151 : Exposition Georges Michel à la fondation Custodia


Exposition Georges Michel à la fondation Custodia ++I (n° 17 436)

Le 19 avril 2018, je suis allé voir l'exposition Georges Michel à la fondation Custodia

Ce que j'ai aimé :

1°) C'est la 1ère fois que je visitais une exposition à la fondation Custodia (dans le 7e arrondissement). C'est un lieu superbe avec une très belle série de salles : il s'agit de l'Hôtel Turgot qui date du XVIIIe siècle.

2°) Je ne connaissais pas Georges Michel. Un peintre français qui a vécu de 1763 à 1843 et qui s'est inspiré des peintres paysagers hollandais du XVIIe siècle. L'exposition permet de voir quelques magnifiques tableaux hollandais (notamment deux Jacob van Ruisdael).

3°) Certains tableaux de Georges Michel sont intéressants. Ces ciels et sa lumière sont intéressants.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Les tableaux sont très répétitifs. Il y a de très peu de variété dans l’œuvre de Georges Michel.

2°) Les tableaux de Georges Michel ne sont pas datés ce qui fai qu'il est complètement impossible de voir l'évolution de la technique de ce peintre.



Georges Michel, Vue d'une ville près de Paris, Reims, Musée des Beaux Arts

 Georges Michel, Vue de la Seine avec une diligence, Paris, Musée du Louvre

Georges Michel, Orage sur la vallée de la Seine, collection particulière

Jacob van Ruisdael, Un champ de maïs avec en arrière-plan le Zuidersee, vers 1660, Rotterdam, Musée Bojmans,

Herman Saftleven, Au pied des dunes sous un ciel orageux, 1632, Musée Bojmans, Rotterdam.

mercredi 18 avril 2018

n° 1150 : Exposition Ceija Stojka à la Maison Rouge


Exposition Ceija Stojka ++++ (n° 17 435)

Le 18 avril 2018, je suis allé voir l'exposition consacrée à Ceija Stojka à la Maison rouge.

Ce que j'ai apprécié :

1°) Je ne m'attendais pas du tout à ce qui était présenté : une oeuvre d'une peintre rom née en Autriche en 1933 qui a été victime de la politique nazie et a vécu dans l'horreur des camps. Son œuvre picturale (qui a commencé très tardivement) est à la fois un témoignage de ce qu'elle a vécu et une œuvre d'une qualité artistique indéniable (elle avait un énorme don pour les couleurs).

2°) Les cartels sont très précis concernant le sort des roms en Europe au XXe siècle. C'est d'une très grande exactitude et précision.

3°) L'exposition présente un film qu'il faut regarder en intégralité : celui réalisé par Karin Berger qui a interrogé Ceija Stojka concernant sa vie au camp de Bergen-Belsen. C'est d'une force et d'une humanité remarquables avec des détails terribles sur ce qu'a vécu Ceija Stojka quand elle avait tout juste 11 ans.Cela permet de comprendre combien l’œuvre est hantée par cette période.

4°) Outre les tableaux qui font allusion à la vie dans les camps, l'exposition présente aussi de peintures très belles qui montrent de superbes paysages lumineux, notamment avec des tournesols. Ceija Stojka a un don pour la couleur.

5°) Alors que de nombreux témoins des crimes perpétrés par les nazis (et ce qui ont collaboré avec eux), cette exposition permet de découvrir une œuvre qui permet de perpétuer la mémoire des génocides et de nous alerter sur ces moments où l'Humanité disjoncte.

Sans titre, 1995

Déportation dans un camp d'extermination, 1994

Sans titre, 01.01.2006



Voyage d'été dans un champ de tournesol, 1996

lundi 16 avril 2018

n° 1149 : La mort de Staline


La mort de Staline +++ (n° 17 433)

Le 16 avril 2018, je suis allé voir le film "La mort de Staline"

Ce que j'ai aimé :

1°) C'est un film incroyablement bien documenté. J'ai eu l'impression de revoir en film ce que j'avais lu l'an dernier dans le livre de Simon Sebab Montefiore : The Court of the Red Tsar (voir mon article du 21 avril 2017). Béria, Malenkov, Khrouchtchev, Molotov sont plus vrais que nature. Toutes les arcanes de cette succession improbable de Staline sont très minutieusement  mis en scène.

2°) La personnalité des différents personnages, d'après ce qu'on en sait, est particulièrement bien représentée : le cynisme de Béria, l'indécision de Malenkov, les manigances de Khrouchtchev,  l'égo démesuré de Joukov, le côté complètement baré du film de Staline.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) Ce film se veut burlesque, un peu à la Lubitsch mais du coup on a vraiment du mal à croire que ce qui est décrit correspond à la réalité telle qu'on la connait. Un exemple : on a du mal à croire que Staline ait pu être laissé inconscient aussi longtemps avant que les dirigeants se décident à appeler un médecin or tout laisse à penser que cela s'est bien passé comme cela.

2°) Malgré son aspect très burlesque ce film est parfois très violent.

dimanche 15 avril 2018

n°1148 : La fondation Gulbenkian de Lisbonne

Une vue des salles consacrées à l'art français du XVIIIe siècle

La fondation Gulbenkian de Lisbonne ++++ (n° 17 432)

Le 5 janvier 2018, j'ai visité la fondation Gulbenkian de Lisbonne.

Ce que j'ai beaucoup aimé :

1°) C'est une fondation privée créée grâce à la collection d'un riche collectionneur d'origine arménienne qui avait un goût très sure (sauf pour l'art chinois). Cette collection s'est retrouvée à Lisbonne en raison des vicissitudes  de l'Histoire : le Portugal du dictateur Salazar a accueilli avec bienveillance ce riche collectionneur qui était accusé par les Britanniques de ne pas avoir été assez engagé dans la lutte contre les puissances de l'axe (notamment pour l'exploitation du pétrole au Proche-Orient).

2°) La collection est d'une très grande variété : c'est un Louvre à échelle humaine avec un très beau département d'art du Proche Orient, de peintures, de mobiliers et d'orfèvrerie des XVIIe et XVIIIe siècles mais aussi du XIXe siècle.

3°) La collection est présentée dans un lieu superbe avec des pièces qui sont très spacieuses.

4°) Cette fondation m'a permis de découvrir un très bon portraitiste français du XVIIIe siècle : Nicolas-Bernard Lépicié.

5°) Les collections de porcelaines d'Iznik montrent bien les influences avec la Chine des Ming (voir photo 3 ci-dessous)

6°) La collection permet de voir une bonne dizaine de vedute de Francesco Guardi. Ce n'est pas original mais c'est toujours beau à voir.

7°) La collection présente deux superbes peintures d'un de mes peintres préférés.

Ce que j'ai moins aimé :

1°) J'ai été un peu déçu par la collection d'art chinois : des porcelaines de très grandes tailles qui sont très ostentatoires mais ne présente pas le style le plus épuré qui soit...

2°) Les cartels concernant la très collection d'Inros japonais pourraient être un peu plus précis. 


Photo 1 : Égypte antique : Statuettes de chat, XXVIe dynastie, 664 à 525 avant J.-C.

Photo 2 : Bol Seldjoukide, fin XIIe siècle, début du XIIIe siècle, Cet objet illustre bien les différentes influences des peuples venus d'Europe centrale installés au Proche-Orient au cours du XIe siècle.

Photo 3 : Porcelaine de Iznik, décor blanc-bleu, XVIe siècle, période ottomane,

Photo 4 : Inro japonais, fin XVIIe siècle, début XXe siècle

Photo 5 : Inro japonais, fin XVIIe/ début XXe siècle,

Photo 6 : Anthony van Dyck, Portrait d'homme, vers 1620/1621

Photo 7 : Pierre-Paul Rubens, Portrait d'un vieil homme, 1645

 Photo 8 : Hubert Robert, Le bosquet des bains d'Apollon, vers 1775/1777

Photo 9 : Nicolas-Bernard Lépicié, L'astronome,  vers 1777

Photo 10 : Nicolas-Bernard Lépicié, Autoportrait, vers 1777.

Photo 11 : Jean-Marc Nattier, Portrait de Louis Tocqué, 1739 (Nattier et Tocqué sont deux des meilleurs portraitistes du règne de Louis XV)

 Photo 12 : D'après Jean Warin (1604-1672), Buste de Louis XIV,  bronze,


photo 13 : Bernard van Risen Burgh (attrbué à), Bureau-cabinet, vers 1750
 Photo 14 : Charles Cressent, Paire de bibliothèques, vers 1725 et Table à écrire, vers 1750.

Photo 15 : Charles Cressent, Bibliothèque, vers 1725 (détail)

Photo 16 : Jean-Henri Riesener, Rouleau cylindre, 1773

Photo 17 : Jean-Henri Riesener, Rouleau cylindre, 1773 (détail)

Photo 18 : Jean-François Oeben, Table mécanique, vers 1761-1762

Photo 19 : François-Thomas Germain, Terrine et plateau, vers 1761

 Photo 20 : Paul Charvel  (attribué à), Terrine et plateau, vers 1769/1770

Photo 21 : Antoine Boulier, terrine et plateau, vers 1784/1785.

Photo 22 : Francesco Guardi, La fête de l'Ascension sur la place Saint-Marc, vers 1775.

Photo 23 : Joseph Mallord Turner, Quillebeuf, embouchure de la Seine, 1833

Photo 24 : Charles-François Daubigny, Conflans, 1868

Photo 25 : Camille Corot, Le pont de Mantes, vers 1868-1870

Photo 26 : Claude Monet, La débâcle, 1880.

Photo 27 : John Singer Sargent, Femme et enfant assoupis dans une barque à l'ombre de saules, 1887. Ce tableau montre la très forte influence de Monet sur ce peintre.

Photo 28 : Edoard Manet, Garçon soufflant une bulle de savon, 1867 (un hommage à Chardin ?)