Le château de Wilhelmstahl à Calden ++++ (n° 16471)
Le 8 août 2015, j'ai visité le château de Wilhelmstahl à Cassel en Hesse
Ce que j'ai adoré :
1°) Il s'agit d'une superbe construction du milieu du XVIIIe siècle situé dans un parc non moins agréable. L'ensemble a une grande unité et surtout n'a subi aucune destruction pendant la 2nde Guerre mondiale.
2°) Lors de la domination de l'Allemagne par Napoléon Bonaparte, celui-ci a installé son frère Jérome sur un trône en Allemagne. Celui-ci (surnommé par les Allemangs "Koenig Lustig") s'est installé à Cassel et il a voulu remeubler son château dans le goût empire. Du coup, il a fait transférer tout le mobilier à Wilhelmstahl et l'ensemble n'a pas été déplacé depuis. Le château est resté dans l'état. Il a reçu très peu de visites officielles. (L'empereur Guillaume II n'y a séjourné que quelques jours à la fin du XVIIIe siècle).
3°) Fait très rare, les cuisines dans leur état du XVIIIe siècle. Impressionnant !
4°) Un petit moment assez magique dans le parc : le passage d'un berger et son troupeau de mouton, juste devant le château.
5°) Comme le château est très peu connu des circuits touristiques (voir infra), nous avons eu droit à une visite guidée privée. Il n'y avait pas d'autres participants à la 1ère visite guidée du matin [à 10h].
6°) Tout près du château il y a l'hôtel/restaurant du château de Wilhelmstahl. Une très bonne table avec un personnel très aimable.
7°) On peut voir dans le château de très nombreux portraits de Frédéric II de Hesse-Cassel , Landgrave de 1760 à 1785. Celui-ci ressemblait incroyablement au roi Louis XVI (de France).
Ce que j'ai moins aimé :
1°) L'interdiction de publier les photographies prises à l'intérieur. J'ai pu en faire (en payant 5€) mais il est interdit de les diffuser.
2°) Le château est très mal desservi. Il faut y aller en bus depuis Cassel et prendre un bus en direction de l'aéroport (situé à Calden) puis faire quelques kilomètres à pied ou en bus. Le tout desservi le samedi par des bus qui ne passent que toutes les deux heures !
J'ai aimé..., J'ai pas aimé... Lecture, cinéma, théâtre, expositions, visites, voyages,...
Un bloc notes créé en janvier 2006 à vocation d'abord personnelle. Si cela en intéresse d'autres tant mieux sinon... tant pis !
samedi 29 août 2015
vendredi 28 août 2015
n° 1009 : Bad Arolsen ( Hesse)
Bad Arolsen ++++ (n° 16 470)
Le 6 août 2015, j'ai visité Bad Arolsen en Hesse.
Ce que j'ai aimé :
1°) La ville possède un superbe château qui date des années 1720, époque où la famille des Waldeck-Pymont a obtenu le rang de prince. Du coup, le château a une très grande unité car après un effort financier important, le château a été très peu modifié.
2°) Le château est célèbre au Pays Bas car la mère de la reine Wilhelmine (1890-1948) était une Waldeck-Pymont et était née à Bad Arolsen.
3°) La ville possède une rue rue centrale qui relie le château à l'église avec un urbanisme décidé par les princes. C'est encore assez beau à voir.
4°) Dans la ville, on trouve un centre nautique idéal pour se détendre ET pour nager. (Arobella, ouvert tous les jours de 10h à 23h)
5°) A gauche du château, quand on a celui face à soi, il y a un restaurant qui sert de très bonnes salades accompagnées de succulents pains à l'ail.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Il n'était pas possible de prendre des photos à l'intérieur du château.
2°) Le mobilier date en partie du XIXe siècle. Pas toujours du meilleur goût.
3°) La ville est reliée à Cassel par un train local à une seule voie donc du coup, il peut y avoir du retard pour faire le trajet.
jeudi 27 août 2015
n° 1008 : Marburg (Hesse)
Marburg +++ (n° 16 469)
Du 3 au 5 août 2015, j'ai séjourné à Marburg en Hesse.
Ce que j'ai aimé :
1°) L'immense château qui surplombe la ville est vraiment un très bel ensemble. On peut visiter de nombreuses salles avec des collections très diverses (des armes, des objets anciens, des peintures religieuses).
2°) Dans l'église Sainte-Elisabeth située en contrebas de de la ville, on peut voir une nécropole intéressante : les gisants des Landgraves de Hesse.
3°) Le centre-ville possède un centre ancien qui n'est pas désagréable.
4°) Depuis les terrasses situées en hauteur on peut profiter d'une très belle vue sur la vallée de la Lann.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) C'est une ville très tranquille beaucoup moins jeune et dynamique que la ville universitaire de Giessen située à quelques kilomètres.
Du 3 au 5 août 2015, j'ai séjourné à Marburg en Hesse.
Ce que j'ai aimé :
1°) L'immense château qui surplombe la ville est vraiment un très bel ensemble. On peut visiter de nombreuses salles avec des collections très diverses (des armes, des objets anciens, des peintures religieuses).
2°) Dans l'église Sainte-Elisabeth située en contrebas de de la ville, on peut voir une nécropole intéressante : les gisants des Landgraves de Hesse.
3°) Le centre-ville possède un centre ancien qui n'est pas désagréable.
4°) Depuis les terrasses situées en hauteur on peut profiter d'une très belle vue sur la vallée de la Lann.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) C'est une ville très tranquille beaucoup moins jeune et dynamique que la ville universitaire de Giessen située à quelques kilomètres.
mercredi 26 août 2015
n° 1007 : La pitié dangereuse
La pitié dangereuse +++ (n° 16 468)
Le 18 août 2015, j'ai fini de lire le livre de Stefan ZWEIG, La pitié dangereuse, 1939.
Ce que j'ai aimé :
1°) J'ai aimé retrouvé le style de Zweig qui sait intéresser son lecteur et qui a une façon de conduire son récit toujours captivante.
2°) Jusqu'ici je n'avais lu que des textes biographiques (ou auto biographiques) de Zweig. Il était intéressant de découvrir ici une fiction.
3°) L'ouvrage pose la question des moteurs et des conséquences de la pitié (ici envers une handicapée moteur).
4°) Le roman nous replonge dans l'Autriche-Hongrie d'avant-guerre. Elle pose en arrière plan la question de ressentiment envers les Juifs qui ont accumulé une fortune.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Les atermoiements du narrateur sont un peu lassants et la fin donne l'impression que l'auteur a cherché une solution un peu trop facile.
Le 18 août 2015, j'ai fini de lire le livre de Stefan ZWEIG, La pitié dangereuse, 1939.
Ce que j'ai aimé :
1°) J'ai aimé retrouvé le style de Zweig qui sait intéresser son lecteur et qui a une façon de conduire son récit toujours captivante.
2°) Jusqu'ici je n'avais lu que des textes biographiques (ou auto biographiques) de Zweig. Il était intéressant de découvrir ici une fiction.
3°) L'ouvrage pose la question des moteurs et des conséquences de la pitié (ici envers une handicapée moteur).
4°) Le roman nous replonge dans l'Autriche-Hongrie d'avant-guerre. Elle pose en arrière plan la question de ressentiment envers les Juifs qui ont accumulé une fortune.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Les atermoiements du narrateur sont un peu lassants et la fin donne l'impression que l'auteur a cherché une solution un peu trop facile.
lundi 24 août 2015
n° 1006 : 20th Century Britain
20th Century Britain +++I (n° 16 367)
Le 16 août 2015, j'ai fini de lire le livre de Kenneth O. MORGAN, 20th Century Britain, Oxford University Press, 2000, 1ère édition, 1984
Ce que j'ai aimé :
1°) Je pense assez bien connaître l'Histoire de la Grande Bretagne, notamment au XXe siècle, or, il y a des faits que je ne connaissais pas : exemple :
- l'Appel à la paix de Lord Lansdowne (29 novembre 1917) page 3 /
- Haig était écossais (page 6)
- la loi Fisher de 1918 est celle qui a rendu l'école primaire gratuite (page 8)
- le fait qu'en 1922 Lloydd George a été obligé de démissionner car il voulait intervenir en Turquie (page 20)
- la capitulation de Lünebourg (ville que je connais près de Hambourg) en mai 1945
2°) Le livre est vraiment bien fait concernant les romans parus aux différentes périodes du XXe siècle.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Une petite erreur de date : la capitulation de Lünebourg a eu lieu le 5 mai 1945 (page 51) (et non le 9 mai 1945)
2°) L'ouvrage date de 2000 et n'a pas été revu depuis (notamment la bibliographie).
3°) Sans donner de raison, l'auteur commence le XXe siècle en 1914. Il s'agit certes d'une date charnière mais elle mérite d'être expliquée.
Le 16 août 2015, j'ai fini de lire le livre de Kenneth O. MORGAN, 20th Century Britain, Oxford University Press, 2000, 1ère édition, 1984
Ce que j'ai aimé :
1°) Je pense assez bien connaître l'Histoire de la Grande Bretagne, notamment au XXe siècle, or, il y a des faits que je ne connaissais pas : exemple :
- l'Appel à la paix de Lord Lansdowne (29 novembre 1917) page 3 /
- Haig était écossais (page 6)
- la loi Fisher de 1918 est celle qui a rendu l'école primaire gratuite (page 8)
- le fait qu'en 1922 Lloydd George a été obligé de démissionner car il voulait intervenir en Turquie (page 20)
- la capitulation de Lünebourg (ville que je connais près de Hambourg) en mai 1945
2°) Le livre est vraiment bien fait concernant les romans parus aux différentes périodes du XXe siècle.
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Une petite erreur de date : la capitulation de Lünebourg a eu lieu le 5 mai 1945 (page 51) (et non le 9 mai 1945)
2°) L'ouvrage date de 2000 et n'a pas été revu depuis (notamment la bibliographie).
3°) Sans donner de raison, l'auteur commence le XXe siècle en 1914. Il s'agit certes d'une date charnière mais elle mérite d'être expliquée.
n° 1005 : Revolutions
Revolutions - (n° 16 466)
Le 12 août 2015, j'ai fini de lire livre de Jack A. GOLDSTONE, Revolutions, Oxford University Press, 2014
Ce que je n'ai pas aimé :
1°) Cet ouvrage surfant sur la vague des "Printemps Arabes" se propose de donner une vision synthétique de la "Révolution". Or, ils donnent une définition qu'il ne respecte pas lui-même. Par exemple, en quoi le début de l'ère Meiji est-il révolution alors que l'intervention du peuple ait sensé joué un rôle important dans une Révolution ?
2°) L'auteur fait un survol de l'Histoire mais il n'est pas toujours à l'aise ou précis en faisant des erreurs grossières : Exemple :
page 67 il affirme que dès la Révolution fraçaise la République a choisi la dévise "Liberté, Egalité, Fraternité". Or ce choix ne date que de la 2e République.
Toujours page 67, on apprend que pendant la Révolution française, les généraux étaient appelé les "Consuls". L'auteur n'a rien compris au Consulat....
page 68, on apprend que c'est en 1801 que la Révolution passe sous la domination de Napoléon Bonaparte...
page 69 on apprend que le neveu de Napoléon Ier, futur Napoléon III s'appelait Louis Bonaparte. Il confond donc le père "Louis Bonaparte" roi de Hollande et son fils Louis-Napoléon Bonaparte...
page 71 on apprend que le Commodore Perry est arrivé dans la baie de Tokyo en 1852... pas de chance c'est en 1853.
On touche le fond page 110 "With Stalin's death in 1956"... Staline est mort en 1953 !
Ce que j'ai quand même aimé :
1°) Il y a des développement intéressants sur les révolutions les plus récentes (pays de l'Est, Philippines, Ukraine, pays Arabes) mais le manque de rigueur à propos des révolutions plus anciennes jettent un soupçon d'inexactitude sur l'ensemble de l'ouvrage.
Le 12 août 2015, j'ai fini de lire livre de Jack A. GOLDSTONE, Revolutions, Oxford University Press, 2014
Ce que je n'ai pas aimé :
1°) Cet ouvrage surfant sur la vague des "Printemps Arabes" se propose de donner une vision synthétique de la "Révolution". Or, ils donnent une définition qu'il ne respecte pas lui-même. Par exemple, en quoi le début de l'ère Meiji est-il révolution alors que l'intervention du peuple ait sensé joué un rôle important dans une Révolution ?
2°) L'auteur fait un survol de l'Histoire mais il n'est pas toujours à l'aise ou précis en faisant des erreurs grossières : Exemple :
page 67 il affirme que dès la Révolution fraçaise la République a choisi la dévise "Liberté, Egalité, Fraternité". Or ce choix ne date que de la 2e République.
Toujours page 67, on apprend que pendant la Révolution française, les généraux étaient appelé les "Consuls". L'auteur n'a rien compris au Consulat....
page 68, on apprend que c'est en 1801 que la Révolution passe sous la domination de Napoléon Bonaparte...
page 69 on apprend que le neveu de Napoléon Ier, futur Napoléon III s'appelait Louis Bonaparte. Il confond donc le père "Louis Bonaparte" roi de Hollande et son fils Louis-Napoléon Bonaparte...
page 71 on apprend que le Commodore Perry est arrivé dans la baie de Tokyo en 1852... pas de chance c'est en 1853.
On touche le fond page 110 "With Stalin's death in 1956"... Staline est mort en 1953 !
Ce que j'ai quand même aimé :
1°) Il y a des développement intéressants sur les révolutions les plus récentes (pays de l'Est, Philippines, Ukraine, pays Arabes) mais le manque de rigueur à propos des révolutions plus anciennes jettent un soupçon d'inexactitude sur l'ensemble de l'ouvrage.
jeudi 20 août 2015
n° 1004 : The Cup of Ghosts
The Cup of Ghosts +(n° 16 462)
Le 10 août 2015, j'ai fini de lire le Paul DOHERTY, The Cup of Ghosts, Headline 2006, 1ère édition 2005.
Ce que je n'ai pas aimé :
1°) J'ai lu beaucoup de romans policiers de Paul Doherty, mais à force d'en écrire il finit par écrire des âneries et faire des approximations qui me rendent la lecture pénible. Dans cet ouvrage de la série consacrée aux enquêtes de "Mathilde" voici quelques perles :
- l'invention de lieux parisiens qui n'ont jamais existé ni au Moyen Âge ni aujourd'hui dans des listes de lieux qui existent " the Place Mordare" (page 23),
- il parle du sea mist (page 191) sur la Seine... la brume de mer à Paris... Surprenant non ? Ce qui est possible à Londre ne l'est pas à Paris !
- la prétention à écrire des expressions en français mais avec d'énormes fautes. Par exemple "Une putaine"... -(page 85) le féminin de un putain pour Mr Doherty ? Autre exemple "The petite châtelet".. Mr Doherty doit penser qu'on dit une châtelet ??
2°) Plus gravement, Paul Doherty fait une erreur concernant l'histoire de l'Angleterre dont il se prétend pourtant un spécialiste. Il évoque page 359 le débarquement sur le sol anglais de Louis VIII de France en "1225" alors que ce débarquement a eu lieu en 1216 alors que Louis n'était encore que l'héritier de la couronne de France.
3°) L'auteur évoque des histoires abracadantes d'inceste entre Isabelle de France et ses trois frères (les futurs Louis X, Philippe V et Charles IV). C'est absolument stupide.
4°) Dans ce volume écrit par Doherty, il y a encore et toujours les mêmes ficelles : l'accident en bateau, le meurtre commis alors qu'il ne reste personne dans la chambre et que la porte est fermée, ... Ca devient un peu lassant.
Ce que j'ai quand même aimé :
1°) Les derniers chapitres sont assez bien menés avec un scénario certes un peu tiré par les cheveux concernant les projets de Philippe le Bel dont l'auteur prétend qu'ils sont quand même possibles.
Le 10 août 2015, j'ai fini de lire le Paul DOHERTY, The Cup of Ghosts, Headline 2006, 1ère édition 2005.
Ce que je n'ai pas aimé :
1°) J'ai lu beaucoup de romans policiers de Paul Doherty, mais à force d'en écrire il finit par écrire des âneries et faire des approximations qui me rendent la lecture pénible. Dans cet ouvrage de la série consacrée aux enquêtes de "Mathilde" voici quelques perles :
- l'invention de lieux parisiens qui n'ont jamais existé ni au Moyen Âge ni aujourd'hui dans des listes de lieux qui existent " the Place Mordare" (page 23),
- il parle du sea mist (page 191) sur la Seine... la brume de mer à Paris... Surprenant non ? Ce qui est possible à Londre ne l'est pas à Paris !
- la prétention à écrire des expressions en français mais avec d'énormes fautes. Par exemple "Une putaine"... -(page 85) le féminin de un putain pour Mr Doherty ? Autre exemple "The petite châtelet".. Mr Doherty doit penser qu'on dit une châtelet ??
2°) Plus gravement, Paul Doherty fait une erreur concernant l'histoire de l'Angleterre dont il se prétend pourtant un spécialiste. Il évoque page 359 le débarquement sur le sol anglais de Louis VIII de France en "1225" alors que ce débarquement a eu lieu en 1216 alors que Louis n'était encore que l'héritier de la couronne de France.
3°) L'auteur évoque des histoires abracadantes d'inceste entre Isabelle de France et ses trois frères (les futurs Louis X, Philippe V et Charles IV). C'est absolument stupide.
4°) Dans ce volume écrit par Doherty, il y a encore et toujours les mêmes ficelles : l'accident en bateau, le meurtre commis alors qu'il ne reste personne dans la chambre et que la porte est fermée, ... Ca devient un peu lassant.
Ce que j'ai quand même aimé :
1°) Les derniers chapitres sont assez bien menés avec un scénario certes un peu tiré par les cheveux concernant les projets de Philippe le Bel dont l'auteur prétend qu'ils sont quand même possibles.
mercredi 19 août 2015
n°1003 : The Ancient Near East
The Ancient Near East ++++ (n°16 461)
Le 4 août 2015, j'ai fini de lire le livre d'Amanda H. Podany, The Ancient Near East, Oxford University Press, 2014 (je ne sais pas pourquoi sur la version de la couverture que j'ai trouvé sur Internet le "The" n'apparaît pas).
Ce que j'ai aimé :
1°) C'est vraiment un ouvrage très clair et très pédagogique sur les grandes phases des civilisations du Proche Orient entre le 4e millénaire avant J.-C. et la conquête par Alexandre le grand. On trouve des cartes, une chronologie, une bibliographie très complète.
2°) L'ouvrage s'appuie sur 33 textes qui sont décortiqués pour nous expliquer les rouages des sociétés Proche-Orientales avec les grandes inflexions que l'on peut observer.
3°) Le livre montre bien que les Assyriens, dont les vestiges sont aujourd'hui victimes du vandalisme de l'Etat islamique, ont été eux mêmes d'incroyables destructeurs des civilisations qui les ont précédé. Les imbéciles d'aujourd'hui conduisent donc involontairement à une revanche de l'Histoire...
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Parmi les documents reproduits, il est dommage que ne soit pas cité la collection à laquelle ils appartiennent. (beaucoup sont soit visibles aux British Museum, soit au Louvre)
mardi 18 août 2015
n° 1002 : Russian History
Russian History +++ (n°16 360)
Le 2 août 2015, j'ai fini de lire le livre de Geoffrey HOSKING, Russian History, Oxford University Press, 2012
Ce que j'ai aimé :
1°) C'est une synthèse vraiment bien faite et claire concernant l'Histoire de la Russie des origines (vers le Xe siècle) jusqu'au début du IIIe millénaire.
2°) Il y a une chronologie et une bibliographie qui semble très satisfaisante.
3°) Je n'avais jamais entendu parler de la déportation des Circassiens dans les années 1860. La 1ère déportation de masse d'une population, qui préfigure celle du XXe siècle (page 70)
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Malgré la présence d'illustration, l'absence totale de cartes.
2°) Une erreur regrettable page 15 : l'auteur pour évoquer les relations avec le Pape au XVe siècle parle du Vatican. Or, à l'époque le pape ne possédait pas que le Vatican mais Rome et les "Etats du Pape". Si on désignait le palais d'où il dirigeait il aurait mieux valu dire le Latran.
Le 2 août 2015, j'ai fini de lire le livre de Geoffrey HOSKING, Russian History, Oxford University Press, 2012
Ce que j'ai aimé :
1°) C'est une synthèse vraiment bien faite et claire concernant l'Histoire de la Russie des origines (vers le Xe siècle) jusqu'au début du IIIe millénaire.
2°) Il y a une chronologie et une bibliographie qui semble très satisfaisante.
3°) Je n'avais jamais entendu parler de la déportation des Circassiens dans les années 1860. La 1ère déportation de masse d'une population, qui préfigure celle du XXe siècle (page 70)
Ce que j'ai moins aimé :
1°) Malgré la présence d'illustration, l'absence totale de cartes.
2°) Une erreur regrettable page 15 : l'auteur pour évoquer les relations avec le Pape au XVe siècle parle du Vatican. Or, à l'époque le pape ne possédait pas que le Vatican mais Rome et les "Etats du Pape". Si on désignait le palais d'où il dirigeait il aurait mieux valu dire le Latran.
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