Un bloc notes créé en janvier 2006 à vocation d'abord personnelle. Si cela en intéresse d'autres tant mieux sinon... tant pis !

vendredi 16 mars 2007

n° 218 : Barbara, d'une rive à l'autre

Barbara, d'une rive à l'autre +++ (N°13383)


Hier soir, jeudi 15 mars 2007, nous sommes allés voir le spectable, Barbara d'une rive à l'autre, Théâtre du Tambour Royal, 94, rue du Faubourg du Temple, passage Piver, Paris Xe.


Ce que j'ai aimé :


1°) Il était agréable de réentendre les grandes chansons de Barbara (disparue en 1997) : "Göttingen", "Marienbad", "l'Aigle noir", "Ma plus histoire d'amour c'est vous", "Si la photo est bonne" et surtout pour finir "dis, quand reviendras-tu ?". Le spectacle dure plus d'une heure et demi non stop.


2°) Il y a des chansons que j'ai découvertes, par exemple "Chapeau bas".


3°) Le parti prix de mélanger un ballet interprété sur des enregistrements de Barbara et des chansons interprétés avec piano permet de donner de la variété et du rythme au spectable.


4°) J'ai vraiment beaucoup apprécié la chanteuse la plus jeune qui de plus a tenu le piano pendant presque tout le spectacle : Isabelle Vajra.


5°) Cela permet de découvrir un petit théâtre d'une centaine de places au décor un peu original entre tente militaire d'ancien régime et cirque traditionnel.


6°) Les danseuses étaient vraiment très gracieuses et il y avait vraiment un effort de fait pour varier les costumes et donner un style particulier à chaque chanson.


7°) Le prix de la place est raisonnable : 10,50 euros.


Ce que j'ai moins aimé :


1°) Le spectacle tombe parfois vraiment dans le spectacle amateur. La chanteuse qui intervient le plus Marie-Thérèse Orain n'est plus une première jeunesse. De plus, il y avait une chanteuse invitée, Mme Gould qui avaient largement dépassé la limite d'âge et qui avait une interprétation de Barbara très inspirée de l'art lyrique !


2°) Je n'ai pas été fan des parties enregistrées de Barbara. Le côté chanteuse d'Outre-Tombe ne m'a pas convaincu. Il faut donner aux paroles et aux textes leur propre vie indépendamment de leur créatrice et première interprète.


3°) C'est fou comme dès que l'on passe au de-là de la place de la République, on tombe dans un autre Paris...


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